Huxley, l’écologie, l’esprit et la raison
Huxley, l’écologie, l’esprit et la raison Dans les années cinquante, Aldous Huxley abordait la question écologique avec un parti pris spiritualiste assumé, inspiré des grands monothéismes et du bouddhisme qui lui rendait totalement inutile la personnification de Gaïa ou de la Teerre. «Transférée du laboratoire et du cabinet de travail à l’église, au parlement et à la salle de conseil, la notion d’hypothèses explicatives provisoires pourrait libérer l’humanité de ses démences collectives, de ses obligations chroniques qui la poussent au meurtre en série et au suicide en masse. Le problème humain fondamental est écologique : il faut qu’on apprenne à vivre avec le cosmos à… Huxley, l’écologie, l’esprit et la raison