Un (troisième) homme providentiel ?
La nuit de l’élection présidentielle US, le 4 novembre 2008, il semblait que tout était possible. Dans The Independent du 5 octobre 2010, Rupert Cornwell nous le rappelle : «On that election night of 4 November 2008, amid the euphoria of the victory rally in Chicago’s Grant Park, it seemed that Obama could indeed walk on water» Aujourd’hui, constate Cornwell, la position d’Obama rappelle celle de Jimmy Carter au moment de l’effondrement de sa présidence, en pire certes Il suffit à Cornwell de rapporter une intervention aujourd’hui de ce même Jimmy Carter, concernant cette fois le climat de l’Amérique, pire qu’à la veille de la… Un (troisième) homme providentiel ?