La moraline dégouline, l’Élysée s’en ripoline
La moraline dégouline, l’Élysée s’en ripoline L’homme qui réside à l’Élysée, pris d’une crise aigüe de moraline, a remplacé l’ennemi sans visage cité dans son discours programmatique de janvier 2012 par une figure de substitution. Il fallait certes vouloir ignorer la composition de ses conseillers économiques, tous banquiers et économistes orthodoxes, pour accorder quelque crédit à ses promesses de campagne électorale. Ce ne sont pas les quelques milliers d’emplois aidés affectés à des activités de service, réservés à une clientèle et payés par l’impôt, qui amorceront la sortie de la récession. L’homme élu par défaut, le pressenti ayant été disqualifié pour crime patent, a réussi… La moraline dégouline, l’Élysée s’en ripoline