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Bernanos et la fin de l’Église

Bernanos et la fin de l’Église Il est facile me disait un lecteur de taper sur Bergoglio. Or Bergoglio caricature une situation compromise depuis longtemps (Bayle, Swift, Montesquieu). Et Bernanos remarque déjà dans sa Grande peur que l’homme nouveau et le chrétien nouveau sont déjà là dans les années trente, que Bloy dénonçait déjà cinquante années avant : « Grâce à eux, le temps n’est pas loin, s’il n’est déjà venu, où rien ne distinguera plus le premier-né de l’ordre chrétien, celui que l’Église a bercé tant de siècles au creux de son giron, du mauvais riche et du voluptueux. Une police attentive l’aura ramassé… Bernanos et la fin de l’Église