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Le docteur Zoellick et le crash par “sugar high

Le docteur Robert Zoellick n’est pas un tendre. Il est venu à la tête de la Banque Mondiale après quelques péripéties au sein de l’administration GW Bush, auparavant chef de la politique commerciale des USA (Representative, U.S. Trade) jusqu’au début 2005 et en excellents termes avec Pascal Lamy, alors commissaire au commerce de la Commission européenne et actuellement secrétaire général de l’OMC. Zoellick a la réputation d’un homme austère, peu préoccupé des apparences, un bureaucrate et un spécialiste des projections économiques qui considère de son devoir, dans un même élan, de ne pas transiger avec les chiffres et de ne pas mâcher ses mots. Au… Le docteur Zoellick et le crash par “sugar high

Vu d’en haut

Vu d’en haut 22 juillet 2006 Alors que Tsahal prépare ou commence une invasion terrestre de la zone Sud du Liban, le débat s’amplifie sur les résultats de la première décade d’attaque (aérienne) contre le Hezbollah et le Liban. Mais on dirait plus justement, pour respecter le rapport de cause à effet que notre psychologie moderniste a appris à ignorer, que le fait même de la préparation d’une invasion terrestre tranche le débat. L’offensive aérienne, que les Israéliens semblaient juger suffisante pour briser le Hezbollah, est un échec puisqu’il faut une offensive terrestre pour la poursuivre et tenter d’accomplir ce qu’elle n’a pu accomplir. Ce… Vu d’en haut

Les opérations s’étendent et la critique grandit

L’opération Changement de Direction de Tsahal contre le Hezbollah devait durer une semaine ou deux. Le chef d’état-major, le lieutenant général Dan Halutz, vient d’avertir ses forces que la bataille pourrait durer plus longtemps que prévu. Une invasion terrestre n’est pas écartée. D’une façon générale, cet élargissement du conflit est moins perçu comme une affirmation d’ambitions nouvelles que comme l’indice des difficultés de Tsahal à remplir sa mission initiale, qui est la destruction du Hezbollah. Le porte-parole de Tsahal affirme que 50% des capacités du Hezbollah sont détruites, sans avancer l’ombre d’une indication convaincante pour corroborer une évaluation qui semble du pur virtualisme de communication.… Les opérations s’étendent et la critique grandit