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Céline et la grosse dépression américaine

Céline et la grosse dépression américaine « Toujours j’avais redouté d’être à peu près vide, de n’avoir en somme aucune sérieuse raison pour exister. À présent j’étais devant les faits bien assuré de mon néant individuel. Dans ce milieu trop différent de celui où j’avais de mesquines habitudes, je m’étais à l’instant comme dissous. » Tous les ploucs rêvent d’aller à New York, et tous les crève-misère rêvent de se rendre en Amérique. Et voici comment le génie du siècle passé décrit son expérience new-yorkaise. La peur de la ville debout (vision d’horreur en fait que celle de ce New York imposé depuis au monde… Céline et la grosse dépression américaine