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Harlan

La logique du pire, ou la sauvegarde par la séquestration

La logique du pire, ou la sauvegarde par la séquestration Harlan Ullman développe, le 8 août 2013 pour UPI, une proposition entièrement basée sur la logique du pire. Il s’agit de l’état du Pentagone, de la dynamique de la séquestration, et de l’évolution des forces armées des USA dans les dix années qui viennent. Ullman s’exprime sans pincettes, comme il a l’habitude de faire, par exemple lorsqu’il remarque que la meilleure chose qui soit arrivée ces derniers jours est le départ en vacances du Congrès puisque, pendant ce temps, son action n’aggrave pas la situation à Washington («Perhaps the best thing that happened to the… La logique du pire, ou la sauvegarde par la séquestration

2012, selon Ullman…

Il est entendu, comme nos lecteurs le savent, que nous tenons pour particulièrement essentiel les constats de climat et d’humeur des situations, très souvent bien plus que les faits dont on connaît l’extrême relativité. Cela est singulièrement vrai, au-delà de tout précédent, dans une époque où le système de la communication tient une place prépondérante dans l’expression et le déplacement des courants également essentiels de notre époque, pour exprimer les puissances en jeu. C’est pour cette raison que nous accordons une place importante à ce texte de Harlan K. Ullman, du 21 septembre 2011 (sur UPI et Spacewar.com) ; parce que Ullman est une de… 2012, selon Ullman…

Un autre “Day of Infamy

Harlan Ullman nous est souvent apparu comme un commentateur judicieux, de l’intérieur de l’establishment US auquel il appartient indiscutablement. (Ce dernier point nous permettant de relativiser les jugements qu’il porte, et le degré de profondeur critique qu’on peut attendre de lui, ainsi les choses sont-elles claires.) C’est lui qui a fort bien synthétisé cette fameuse politique de l’idéologie et de l’instinct à laquelle nous nous référons si souvent. Nous nous tournons à nouveau vers lui pour une appréciation de l’évolution de la situation aux USA depuis la crise de la dette, laquelle nous semble déjà d’une autre époque, puisque les choses vont à cette vitesse… Un autre “Day of Infamy

Notre monde des “unknown unknowns

Notre monde des >unknown unknownsknown knownsil y a les choses dont savons que nous les connaissons ; il y a les choses dont nous savons que nous ne les connaissons pas (puisque nous savons qu’elles existent mais que nous ne les connaissons pas) ; et puis il y a les choses que nous ne connaissons pas, et dont nous ne savons pas par conséquent que nous ne nous les connaissons pas (puisque nous ne savons pas qu’elles existent, et que, évidemment, nous ne les connaissons pas). (Il faut toujours s’intéresser à Rumsfeld, personnage brutal mais énigmatique, à plusieurs facettes, –, et nous-mêmes sommes allés jusqu’à… Notre monde des “unknown unknowns

The system is broken”, version Harlan K. Ullman

The system is broken, version Harlan K. Ullman Il y a un peu moins d’un an, nous nous étions attachés avec le plus grand intérêt à un texte de Harlan K. Ullman, le 29 mai 2009, au point de lui emprunter une expression que nous avons depuis souvent utilisée, qui représentait alors, selon lui, ce qu’avait été le gouvernement de GW Bush : le gouvernement de l’idéologie et de l’instinct. Ullman opposait ce gouvernement à un éventuel gouvernement de la raison qu’aurait voulu instituer Barack Obama. Déjà, en mai 2009, il n’était pas très optimiste. Qu’en pense-t-il dix mois plus tard? Le pire possible. Dans… The system is broken”, version Harlan K. Ullman