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Apologie de Macron

Apologie de Macron 28 février 2024 (13H00) – Le gamin a fait des vagues. Il est content et sa maman l’a certainement félicité, avec quelques gâteries à l’appui ; au fond, j’en suis sûr, tout au fond de lui-même il jubile. Alors, on le prend au sérieux, non ? Ce n’est pas de Gaulle, mais bon, – pas si loin, dans un autre style, plus pentu en un sens, plus de sorties en boite à partouze, plus hussard que cuirassier, tel le Céline des quartiers chics et de >la banque< (comme on disait du temps des 200 Familles qui faisaient 'Les grandes Familles‘)… Ni slalom… Apologie de Macron

Le Système a viré Hagel

Le Système a viré Hagel 25 novembre 2014 — Décidément, BHO donne de plus en plus d’espoir, car il pourrait être bien parti pour un >sans faute< d'ici la fin de son mandat. A ce rythme, avec cette impeccable fermeté dans l'orientation et la valeur de ses décisions, cette splendide volonté habitée de faire toujours pire, il est effectivement sur la voie de devenir non pas l'un des pires, mais le pire, le vraiment pire, le pire des pires présidents que les USA nous aient donnés. Le départ de Chuck Hagel est en effet un des très grands exploits catastrophiques dans cette présidence-second terme. Il… Le Système a viré Hagel

La coalition et l’ombre de BHO-Hamlet

Hier, à la Commission européenne, c’est-à-dire dans les couloirs nombreux et très longs, on se félicitait de l’incomparable habileté de la partie américaniste dans cette affaire d’intervention en Libye. Ainsi va l’interprétation qui procurait des gloussements de plaisir : les interventions anti-interventionnistes du secrétaire à la défense Robert Gates constituaient une manuvre d’une suprême habileté pour contenir les pressions anti-guerres des Chinois et des Russes, alors qu’on préparait l’intervention, dont les boys seraient évidemment. Gates aurait donc joué à être l’opposant qu’il ne serait finalement pas, à cette opération contre la Libye avec participation US. Il est toujours surprenant de mesurer l’extrême ignorance de ce… La coalition et l’ombre de BHO-Hamlet

Powell à la place de Gates ?

Notant que le général Powell, ancien chef d’état-major général de Bush père, ancien secrétaire d’Etat de Bush fils, qui figura longtemps dans les sondages dans les années 1990 comme le possible premier président Africain-Américain des USA, joue un rôle proéminent dans la campagne d’Obama pour faire ratifier le traité START-II, Toby Harnden, du Daily Telegraph, rapporte (le 4 décembre 2010) les paroles flatteuses que lui adressa, il y a quelques jours, le véritable premier président Africain-Américain des USA La description ne manque pas de piquant, conduisant à la conclusion que la vanité semble être un caractère commun aux deux hommes. «He is not only a… Powell à la place de Gates ?

Afghanistan, Apocalypse Now

Afghanistan, Apocalypse Now 4 novembre 2009 Sous un titre désormais célèbre (« Too Big to Fail?»), Tom Engelhardt développe, sur Antiwar.com, le 2 novembre 2009, l’idée que l’Afghanistan est devenue, pour les USA, une sorte d’AIG, cette énorme compagnie d’assurance dont on assurait que son énorme poids l’empêcherait de s’effondrer, et qui s’effondra effectivement, au point que le gouvernement mit toutes ses forces pour la redresser à partir de ses lambeaux. «Unfortunately, in Washington terms, what’s happened in Afghanistan is not the definition of failure. In the economic lingo of the moment, the war now falls into the category of too big to fail, which… Afghanistan, Apocalypse Now

Enchaînement de circonstances et décisions de crise

Barack Obama a rompu une étrange habitude des présidents US, instituée depuis Bush-père, qui était de ne plus aller saluer épisodiquement, au sens propre et au sens figuré, les soldats morts, de retour des théâtres extérieurs dans leurs cercueils. Ce retour a toujours été l’objet de ce que le Pentagone refuse de nommer une cérémonie, mais qui représente une tradition du salut aux morts au combat. La visite d’Obama avait été tenue secrète et se passa effectivement dans la discrétion. The Independent du 30 octobre 2009 note sobrement: «Saluting stiffly, his coat jacket whipped by a blustery wind, the commander-in-chief watched as the coffin was… Enchaînement de circonstances et décisions de crise

“Hey Joe”, – démission!

Hey Joe démission! 15 octobre 2009 Sans doute la nouvelle la plus surprenante est-elle la proposition d’Arianna Huffington, sur son site (Huffington.Post) d’une influence politique considérable, que le vice-président Joe Biden devrait démissionner. C’est le 14 octobre 2009 qu’elle publie cette proposition, inattendue à première vue, d’une réelle logique lorsqu’elle est expliquée. D’abord, il commence à se dire, venant de nombreuses sources, qu’Obama accéderait aux requêtes du général McChrystal pour l’envoi de renforts de 45.000 hommes en Afghanistan. Le Daily Telegraph l’affirme en détails ce 15 octobre 2009, à partir de sources militaires UK. La BBC avait également affirmé la chose, de son côté, le… “Hey Joe”, – démission!

Hamlet devant l’Afghanistan…

Hamlet devant l’Afghanistan La semaine s’annonce difficile pour Obama, enfin une de plus. Cette fois, ou une fois de plus, il est question de l’Afghanistan. Le philosophe Manuel de Diéguez décrit, ce 5 octobre 2009 les déchirements intérieurs de Barack Obama, semblables à ceux de ce pays-continent à la tête duquel il se trouve, lui-même plongé dans l’embarras de l’impuissance et de l’indécision, à l’image d’un personnage shakespearien «Si M. Barack Obama se révélait donc un acteur shakespearien de l’histoire de la planète en ce début du XXIe siècle, il figurerait un Hamlet de la Démocratie viscéralement condamné à hésiter sans fin sur la terrasse… Hamlet devant l’Afghanistan…

Hamlet en campagne

Hamlet en campagne 14 mai 2008 — Une semaine durant, nous avons exulté. Enfin, alea jacta est, – ce serait Obama. Pendant deux semaines, auparavant, nous avions balancé : Hillary a gagné en Pennsylvanie mais est-ce suffisant pour qu’elle s’impose? Auparavant, pendant un gros mois, Obama était devenu inéligible, impossible à envisager, décidément trop vert et trop, – comment dit-on? Trop >vraiBittergate< gorbatchévien.) Auparavant encore, Hillary avait perdu toutes ses chances, avec ses manœuvres grossières, ses attaques personnelles, son incapacité à faire la différence, et Obama ne faisait pas un pli… Et ainsi de suite, en remontant au début de tout, où, en une semaine,… Hamlet en campagne