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Les nouveaux “négationnistes” (israéliens) et la dissolution du monde

Les nouveaux négationnistes (israéliens) et la dissolution du monde Suspens L’esprit vigilant, conformiste et policier du temps accepterait-il de prêter le qualificatif pour qu’on puisse les désigner comme négationnistes ? Pourtant, ils nient effectivement, et ils sont anciens chefs du Mossad (voire chef actuel du Mossad), ou ancien chef des forces armées israéliennes (IDF, pour Israel Defense Forces). Ils nient en général que l’Iran soit la menace existentielle qu’on dit, bien que cette menace soit généreusement associée à des déclarations richement caviardées du président iranien sur l’Holocauste et une soi-disant volonté affichée de l’Iran d’anéantir Israël. . Comme le discours-Système sur ce cas est d’équivaloir… Les nouveaux “négationnistes” (israéliens) et la dissolution du monde

Le Hezbollah avait laissé une bombe à retardement

Six mois plus tard, la bataille contre le Hezbollah plonge Israël dans une nouvelle crise. Le même jour, deux nouvelles y contribuent grandement, dont l’une directement liée aux considérables difficultés d’Israël lors de la deuxième guerre du Liban de l’été 2006, et toutes deux affectant une direction israélienne extrêmement affaiblie par ce revers : L’annonce de la démission du chef d’état-major général, le général Halutz. Selon le Guardian: «Gen Halutz’s surprise resignation came after several internal Israeli military inquiries into the conduct of the war but before the major investigation into the conflict, known as the Winograd Commission, delivers its interim findings, which are due… Le Hezbollah avait laissé une bombe à retardement

Tsahal en procès : une enquête au-dessous de tout soupçon

La question des enquêtes et sanctions concernant le comportement de l’armée israélienne durant la campagne contre le Hezbollah semble devoir se résoudre selon les techniques attendues. L’armée israélienne américanisée ne bougera pas d’un pouce et continuera sur sa voie, cette voie qui lui a bien réussi. Le succès est au bout du système. Pour procéder dans ce sens, deux méthodes. Celle des politiques et de leurs conseillers en communication, qui consiste à dire : disons qu’on a gagné et la nécessité de faire des enquêtes s’évacuera d’elle-même. C’est fait. Il y a aussi celle des militaires-bureaucrates, qui consiste à faire plutôt que dire : monter… Tsahal en procès : une enquête au-dessous de tout soupçon

Les accusations du colonel

La crise affectant Tsahal après la guerre de juillet-août montre toute sa gravité avec l’interview d’un officier du rang, commandant d’une unité importante ayant participé au conflit contre le Hezbollah. Il s’agit du colonel commandant la 7ème division de chars, qui décrit les conditions de préparation et de mise en action du régiment de réservistes qu’elle recevait pour atteindre son effectif. Ces déclarations, qui sont retranscrites par The Observer ce matin, jettent une lumière crue sur l’impréparation du rappel des réservistes et sur l’indifférence du haut commandement à l’égard de cette question, autant que de sa méconnaissance des conditions opérationnelles. La gravité du problème doit… Les accusations du colonel

Pendant ce temps, la guerre des généraux…

On peut admettre que, désormais, the fog of the war commence à se dissiper sur l’état réel du conflit entre Israël et le Hezbollah. L’indication la plus nette des difficultés de Tsahal nous est sans aucun doute donnée par ce que Uri Avnery désigne comme la guerre des généraux, dans un excellent article qu’il publie le 10 août sur le site Information Clearing House. (Avnery, journaliste et écrivain israélien, membre actif du mouvement pour la paix Gush Shalom.) La guerre des généraux est marquée surtout par la querelle entre le chef d’état-major et son commandant de théâtre au Liban Sud (voir aussi Haaretz du 9… Pendant ce temps, la guerre des généraux…

L’USAF inquiète pour ses relations publiques

L’offensive lancée par les Israéliens contre le Hezbollah prévoyait au départ la seule utilisation de la force aérienne, selon les conceptions du général Halutz et de l’USAF à Washington. L’affaire devait être bouclée en quatre-cinq jours. Tout n’a pas fonctionné selon les plans prévus, comme l’on sait. Les critiques ont commencé à fleurir. L’USAF est inquiète de ces réactions, qui risquent d’avoir des effets au Congrès, par rapport à certains de ses programmes. L’un des articles les plus efficaces, classique, sobre et précis, dans sa critique de l’utilisation de la force aérienne a été celui de Philip Gordon, dans le Washington Post du 25 juillet… L’USAF inquiète pour ses relations publiques

Halutz est bien le LeMay de Tsahal

Nous avons aujourd’hui quelques précisions sur le chef d’état-major de Tsahal, dans un texte d’Alexander Cockburn mis en ligne sur le site CounterPunch. Il s’agit bien du LeMay israélien. Cockburn nous rapporte quelques détails sur l’homme et ses conceptions. Aucune surprise, juste une confirmation « Israel is doomed, said a friend of mine some months ago, returning to the U.S. after a trip to Israel. I asked him why, and my friend, who spent twenty years working at a high level in the Pentagon, answered, They’ve put in an Air Force man as chief of the General Staff. He was talking about Dan Halutz, appointed… Halutz est bien le LeMay de Tsahal