Une “émodiplomatie” française ni crédible, ni constructive
Une >émodiplomatie< française ni crédible, ni constructive Depuis les Printemps arabes, le moralisme diplomatique à géométrie variable de Nicolas Sarkozy et de son successeur s’est imposé dans la politique étrangère française, en particulier à l’égard de l’« axe chiite » (sous Sarkozy) et de la Russie (sous Hollande). Justifiées par le pilonnage et le siège d’Alep-Est par les forces de Bachar el-Assad et leurs alliés russes, les récentes hésitations et menaces de l’Exécutif français contre Vladimir Poutine en sont un exemple paroxystique, tandis que la France et ses alliés soutiennent clandestinement des rebelles islamistes en Syrie, et qu’ils appuient la « coalition arabe » qui… Une “émodiplomatie” française ni crédible, ni constructive