Le prix de l’amitié
Le prix de l’amitié 9 septembre 2002 En quelques jours, Tony Blair a balayé toute velléité d’une seule hésitation dans le problème irakien. Plus personne ne peut douter de sa volonté d’engagement aux côtés de GW. L’impression en devient même que c’est Tony Blair qui mène la charge et donne à GW le moyen de sortir de ses difficultés accumulées au mois d’août. Ainsi, si Blair-GW parlent de l’ONU à l’insistance de Blair, c’est pour mieux assurer que l’attaque puisse se faire. L’idée est bien résumée dans la chronique Foreign Editor’s Briefing, de Bronwen Maddox, dans The Times du 6 septembre, par le titre même… Le prix de l’amitié