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Variations autour du thème (élargi) de la Grande Dépression

«Grande Dépression n°2 ou Plus Grande Dépression ?» (Plus Grande Dépression pour Greater Depression, expression employée par Doug Casey) : cette interrogation, titre de notre Ouverture libre de ce 7 septembre 2011, avertit que les perceptions, et par conséquent les commentaires, sont passés du thème de la Deuxième Grande Récession (une réplique de l’effondrement de septembre 2008 et de la récession qui a suivi, dite Grande Récession), à des variations autour du thème d’un nouveau prolongement type Grande Dépression des années 1930, en général en plus corsé. En fait, la Grande Récession démarrée en 2007-2008 n’a jamais cessé, et elle fut même souvent identifiée comme… Variations autour du thème (élargi) de la Grande Dépression

Même les crises sont en crise…

Même les crises sont en crise 19 août 2011 Nous avions cru tenir la GFC2 (Great Financial Crisis 2), l’autre jour, le 4 août 2011. L’effondrement (suite) des marchés, notamment hier, après quelques jours de crise terminée, nous poussent à dégainer à nouveau nos stylos. A ce point, nous confirmons notre opinion que l’option GCCC (Grande Crise de notre Contre-Civilisation) est plus que jamais un refuge enrichissant pour notre compréhension plutôt que rechercher, de quinzaine en quinzaine, la vraie GFC2 comme une aiguille dans une botte de foins Comme l’on sait, il s’agissait de proposer l’idée que nous nous nous trouvons en phase d’intégration de… Même les crises sont en crise…

L’intégration de la crise, ou la vision de la dystopie

Nous nous arrêtons à un article de Larry Elliott sur la crise, perçue désormais comme générale et non plus seulement financière, et cette distinction encore imprécise est pour nous l’essentiel. C’est toute la différence entre GFC2 et GCCC, selon la classification que nous avons proposée le 4 août 2011. L’article d’Elliott est du 14 août 2011, dans le Guardian. Une particularité importante est qu’il s’agit d’un article d’un journaliste spécialisée en économie, puisque Elliott, qui est au Guardian depuis 1988, est présenté comme «the Guardian’s economics editor». Nous présentons le début de son texte et sa conclusion, qui sont pour nous l’essentiel de sa réflexion,… L’intégration de la crise, ou la vision de la dystopie

Un autre “Day of Infamy

Harlan Ullman nous est souvent apparu comme un commentateur judicieux, de l’intérieur de l’establishment US auquel il appartient indiscutablement. (Ce dernier point nous permettant de relativiser les jugements qu’il porte, et le degré de profondeur critique qu’on peut attendre de lui, ainsi les choses sont-elles claires.) C’est lui qui a fort bien synthétisé cette fameuse politique de l’idéologie et de l’instinct à laquelle nous nous référons si souvent. Nous nous tournons à nouveau vers lui pour une appréciation de l’évolution de la situation aux USA depuis la crise de la dette, laquelle nous semble déjà d’une autre époque, puisque les choses vont à cette vitesse… Un autre “Day of Infamy

Londres (et ROW) brûle(nt)

Le reste, ce n’est pas seulement le reste de l’Angleterre, mais, éventuellement, le reste du monde, the Rest Of the World (ROW), cette fois USA compris. L’embrasement du Royaume-Uni, qui rappellent à certains la France-2005, la Grèce-2008 et d’autres, répond à tous les critères habituels. Que ce soit le Daily Telegraph (le 8 août 2011 : «London’s rioters are the products of a crumbling nation, and an indifferent political class that has turned its back on them.»), que ce le Guardian (9 août 2011 : «Young looters from poor estates have nothing to lose and no reason to obey social norms, say experts»), ceux-là et… Londres (et ROW) brûle(nt)