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George

The Beat Goes On”, — et voici POTUS devenu Boy George, upbeat après sa visite à Bagdad

Le président GW Bush est rentré plein d’optimisme et d’enthousiasme de son voyage à Bagdad, il est de nouveau parmi nous avec une pêche d’enfer. Du rythme, il faut du rythme, ce sera donc le beat Le terme upbeat est régulièrement employé dans la presse, comme, par exemple, dans The Independent d’aujourd’hui. « Tired but clearly buoyed by his surprise 30-hour trip to Baghdad, Mr Bush sounded more confident and upbeat than in many months as he sought to shore up support for his Iraq policy, which a majority of Americans now oppose. (..) » The President admitted that it was an illusion to expect… The Beat Goes On”, — et voici POTUS devenu Boy George, upbeat après sa visite à Bagdad

Un cas exemplaire d’indépendance journalistique

Un cas exemplaire d’indépendance journalistique 4 janvier 2004 Le texte de Norman Salomon que nous publions ci-dessous présente un cas des plus intéressants : celui du commentateur américain George F. Will. (Will publie un peu partout, notamment dans le Washington Post et dans une myriade d’autres publications américaines.) Will est un chroniqueur célèbre aux USA, très à droite, très américaniste, soutien de l’administration GW Bush, de la politique néo-impérialiste et ainsi de suite. Il fait partie de ces commentateurs américains (Safire, Friedman, Krauthammer, etc) dont on a coutume de dire, et jusqu’ici de penser qu’ils représentent une appréciation indépendante de la politique américaine et de… Un cas exemplaire d’indépendance journalistique

La crise du commandement unique

Une bataille de psychologies Paru en 1931, d'un auteur anonyme qui nous est présenté comme un général (>général ***poids< des puissances respectives et leur utilisation extensive (le >poids< des morts si l'on veut) protègent les souverainetés. • Les difficultés et les complexités des rapports entre militaires et civils, avec des interférences inter-nationales. (Le premier ministre britannique Llyod George détestait son commandant en chef Haig; il ne pouvait pourtant s'en séparer àcause de la popularité de Haig et du soutien du roi George V à ce dernier; Llyod George chercha souvent à favoriser un commandement unique qui irait à un Français, pour réduire sur le terrain… La crise du commandement unique