Vivement un syndrome irakien
L’Irak est plus que jamais le cur et le moteur de la crise politique washingtonienne. L’expert réputé des questions stratégiques Andrew J. Bacevich s’attache aux très récentes interventions des néo-conservateurs et juge qu’elles annoncent un débat dévastateur à Washington pour la recherche des responsables de la catastrophe irakienne. Son texte, paru dans le Los Angeles Times le 7 novembre, montre un singulier pessimisme. Bacevich argumente que ce déchirement du débat sur l’Irak qui s’ouvre et le traumatisme qui va l’accompagner sont une excellente chose parce que cela pourrait empêcher une autre aventure (on pense évidemment à l’Iran). C’est la signification, notamment, de cette phrase :… Vivement un syndrome irakien