Enfin, ils ont conquis “les cœurs et les esprits”
Entamant un texte sur l’Iran où il nous dit que les événements récents ont humanisé l’Iran et rendu impossible, par le choc psychologique, toute attaque de sang-froid de ce pays comme l’Occident envisage de la faire en général entre la poire et le fromage de ses diplomates, Jonathan Freedland ne peut s’empêcher de commencer son texte en parlant de l’Irak où eut lieu effectivement cette attaque de sang-froid. Il faut dire que la circonstance y invite, puisque nous assistons au commencement de quelque chose qu’on pourrait nommer, pour faire bref et sans illusions, la libération de l’Irak du joug américaniste. Freedland publie son texte ce… Enfin, ils ont conquis “les cœurs et les esprits”