Dans les fers rouillés de la “dictatrice”
Dans les fers rouillés de la >dictatricedictatrice< du monde et se comporterait en conséquence. » La réponse à cette question implicite d’Adams ne fut-elle pas donnée par Thomas Jefferson quatre ans plus tard, à l’heure de son agonie, à l’heure de ses derniers mots qui furent : « Tout, tout est perdu » ? Jefferson parlait des origines de la Grande République, avec ses principes fondateurs dont celui de ne jamais intervenir au-delà des mers et des morts, dont il jugeait d’ores et déjà, dans la tristesse désespérée de son trépas, qu’ils étaient perdus en même temps que la corruption s’était installée en maîtresse absolue… Dans les fers rouillés de la “dictatrice”