Maître du “persiflage” postmoderniste
Nous nous attachons ici à cette intervention de l’historien anglo-américaniste Nial Ferguson, dont on lit de larges extraits dans Ouverture libre ce 16 juillet 2010, au >Aspen Ideas Festival< qui porte fort bien son nom. Nous nous intéressons autant à la personnalité de Ferguson qu’à l’intervention de Ferguson, les deux se mêlant étroitement, l’une expliquée largement par l’autre. C’est de l’histoire menée par la subjectivité partisane à ciel ouvert, – exactement comme elle est faite aujourd’hui, l'histoire, hors de toute >objectivitémacho< intellectualisant, à la différence d'un BHL qui est d'une intelligence moyenne, d'un arrivisme vraiment trop voyant, sans le moindre humour et d'un sérieux ennuyeux… Maître du “persiflage” postmoderniste