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Panique tranquille au bord de l’impasse de la falaise…

Panique tranquille au bord de l’impasse de la falaise Le pouvoir washingtonien, toutes têtes confondues, de la Maison Blanche au Congrès, a une façon bien à lui de proclamer l’urgence extrêmer de la situation et de manifester quelques signes de panique. Il s’agit de la fameuse fiscal cliff, ou falaise fiscale, au bord de laquelle s’ouvre, paraît-il, un abîme insondable dont on a largement eu le temps de sonder l’insondabilité depuis l’été 2011, lorsqu’on fixa les limites générales et modalités d’un accord boiteux pour éponger l’une ou l’autre gouttelette de l’insondable dette, avec rendez-vous en décembre 2012 pour régler le plus pressant. Arrivé à deux… Panique tranquille au bord de l’impasse de la falaise…

Au hasard, le pouvoir

Au hasard, le pouvoir 24 décembre 2012 – >Gouverner, c’est prévoirmoderne< disons, – en ayant à l'esprit, bien entendu, que, comme tout bon observateur russe, il se méfie diablement du mot, – >modernepolitique-Système< et de bloc BAO, ou divers textes tels que celui qui rendait compte d’un numéro de dde.crisis sur le thème de >la dissolution du pouvoir politiquemodèle< absolument indépassable. La séquence washingtonienne actuelle est elle-même exemplaire, où l'on voit un président réélu dans des conditions d'un assez beau succès, qui base sa présidence sur la vision éventuellement utopique et le changement (quoi qu'il en soit en vérité, bien sûr), et qui se trouve… Au hasard, le pouvoir