Effets pervers
Effets pervers 6 août 2002 Gerardt Schröder a nettement infléchi sa campagne électorale, pour son ouverture officielle, en y faisant figurer en très bonne place l’argument de la possible attaque contre l’Irak, pour proclamer qu’il y est résolument opposé. Sur ce point, il s’oppose à son rival chrétien-démocrate de Bavière, qui a laissé entendre, un peu vite semble-t-il (c’est-à-dire sans se douter que l’affaire pourrait devenir un enjeu électoral), qu’il soutenait une éventuelle initiative d’attaque des USA. Schröder veut rencontrer le sentiment pacifiste des Allemands, leur opposition à la guerre contre l’Irak, pour renforcer sa position électorale très durement ébranlée ces derniers temps. Le détail… Effets pervers