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Le “coup” de Petraeus

Le coup de Petraeus Il y a un intéressant petit commentaire (le 23 juin 2010) de Thomas P.M. Barnett, de Esquire, sur la mise à pied de McChrystal et la nomination de Petraeus en Afghanistan. Barnett rappelle, comme nous l’avions fait nous-mêmes, le précédent de l’amiral Fallon, démissionnaire dans les mêmes circonstances et également remplacé par Petraeus, après un article d’Esquire, justement. («Well, well, well where have we seen this before? The indiscreet U.S. commander whose tongue digs his own grave. The stunning resignation submitted within hours of the magazine’s online posting of the story. And General David Petraeus yet again as the go-to choice… Le “coup” de Petraeus

Après la chute

Après la chute 18 mars 2008 Une semaine après la démission de l’amiral Fallon, on peut tenter d’apprécier l’événement dans la perspective et tenter de l’interpréter. D’une façon générale, l’appréciation porte moins sur une situation stratégique précise (guerre ou pas de guerre contre l’Iran: non avec Fallon, oui sans Fallon) que sur une bataille interne à Washington, entre diverses tendances au pouvoir, éventuellement, et encore plus précisément, une bataille interne entre diverses tendances qui s’expriment par une bataille interne sur la stratégie à conduire dans la grande zone stratégique de Central Command (embrassant le Moyen-Orient, de l’Egypte au Pakistan). Encore ne sommes-nous pas assurés que… Après la chute

Un article trop loin

Un article trop loin 12 mars 2008 Le départ de l’amiral Fallon de son poste de commandant de Central Command suit évidemment la publication de l’article du 5 mars dans Esquire. (Le site d’Esquire a rafraîchi la présentation de son article au 11 mars en y ajoutant l’annonce de la démission de Fallon. Mais l’article date du 5 mars.) Plus encore, elle suit le moment où l’article d’Esquire a commecé à recevoir un écho public important. C’est ce que remarque le Nelson Report cité par Steve Clemons sur son site The Washington Note, hier soir: «Interestingly, in this time of instant world-wide communication, it took… Un article trop loin

Le cas de l’amiral Fallon dans Esquire

Le cas de l’amiral Fallon dans Esquire 10 mars 2008 — Comme nos lecteurs le savent sans doute (voir notre Forum du 8 mars), un important article de Thomas Barnett, dans Esquire, a été publié le 5 mars, sur l’amiral Fallon, commandant Central Command, présenté, selon le titre, comme «The Man Between War and Peace». Nos lecteurs connaissent aussi l’amiral Fallon, dont il a souvent été question sur ce site. Pour grossir le trait et faire bref, on dirait que Fallon est l’homme qui s’est >opposé< à la possibilité d'une attaque délibérée de l'Iran, soutenu par sa hiérarchie (l'U.S. Navy) et par le secrétaire à… Le cas de l’amiral Fallon dans Esquire

King-Rove

King-Rove 6 décembre 2002 Question : Karl Rove, secrétaire général de la Maison Blanche (chef de cabinet de GW), est-il l’homme central du pouvoir à Washington ? Deux affaires (terme génériques pratique) nous poussent à nous intéresser à cette question. • L’affaire John Dilulio, du nom d’un ancien fonctionnaire de la Maison-Blanche, démocrate mais qui a servi avec GW pendant près d’un an. Dilulio a envoyé une longue lettre (publié sur le site de Esquire) au correspondant washingtonien de Esquire, Ron Suskind, le 24 octobre. Il détaille la situation à la Maison Blanche (très flatteur pour GW) et surtout l’influence et l’action extraordinairement puissante de… King-Rove