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Troupes au sol iraniennes en Syrie

Troupes au sol iraniennes en Syrie Que se passera-t-il lorsque l'Iran engagera des troupes au sol (boots on the ground) en Syrie pour soutenir Bachar al Assad. Le principe en avait été retenu il y a quelques semaines, autant que l'on sache, lors de réunions des représentants de la coalition montée par Vladimir Poutine, c'est-à-dire la Russie, l'Iran, l'Irak et de la Syrie, sans mentionner le Hezbollah. Depuis lors, l'Iran a engagé quelques militaires aux côtés des troupes syriennes loyalistes (Un général iranien a d'ailleurs récemment été tué dans un engagement avec Daesh). Mais il ne s'agissait que de détachements exploratoires. Pendant ce temps là,… Troupes au sol iraniennes en Syrie

La Chine tend une main ferme à Moscou

La Chine tend une main ferme à Moscou On a déjà vu la semaine dernière (voir le 18 décembre 2014) des indications selon lesquelles la Chine pourrait prendre position auprès de la Russie pour l’aider à résister à l’attaque actuellement menée contre elle au niveau économique et monétaire, par l’action conjuguée de trois facteurs : l’effondrement du prix du pétrole où la collusion USA-Arabie semble avérée, les sanctions du bloc BAO et les spéculations de groupes extérieurs (dont des fonds de pension d’obédience US) qui semblent agir d’une façon coordonnée. La Chine est un pays qui, traditionnellement, agit lentement et avec prudence, et ces indication… La Chine tend une main ferme à Moscou

Perspective hypothétique d’un engagement US en Ukraine: pessimiste

Perspective hypothétique d’un engagement US en Ukraine: pessimiste On connaît Loren B. Thompson, dit Loren B., dans nos colonnes. Nous le citâmes souvent, et rarement pour lui tresser des couronnes, lorsque nous parlions abondamment du JSF, dans les années 2007-2011. Lobbyiste de Lockheed Martin et de l’industrie d’armement en général, vénalement et psychologiquement corrompu à cet égard, la pensée de Loren B. se libère un peu lorsqu’on quitte ces domaines, et parfois pour notre bénéfice. Par exemple, dans un texte, le 12 avril 2010, après avoir fait sa fête à ce Loren B. corrompu jusqu’à la moelle et jusqu’au bout des nerfs lorsqu’il est question… Perspective hypothétique d’un engagement US en Ukraine: pessimiste

L’OTAN en Libye, ou la stratégie de l’écrevisse des sables

Le sous-titre de l’article est une réminiscence aujourd’hui fameuse du film de Mike Nichols (1970), d’après le roman de Joseph Heller (1961). Catch 22 était une charge caricaturale de ce que la bureaucratie, ou plutôt l’esprit de la bureaucratie appliqué aux opérations militaires peut donner en fait de désordre et d’inefficacité, le désordre ordonné et planifié, ou désordre structuré, si vous voulez. Le sous-titre nous dit, à propos des rebelles libyens du CNT soutenus par l’Ouest et, en général, le bloc BAE : «Fighters in catch-22 as Nato instruction to pull back ahead of air strikes causes them to lose gains against Gaddafi’s forces.» L’article… L’OTAN en Libye, ou la stratégie de l’écrevisse des sables

Libye: de l’incertitude de l’engagement US à une prospective de grande crise

Tant est grand le désarroi dans les rangs du bloc américaniste-occidentaliste (BAO) pour ce qui concerne l’intervention en Libye qu’un commentateur en est réduit, sans guère de conviction, à juger que l’article commun Cameroun-Obama-Sarkozy publié simultanément dans le New York Times (ou l’International Herald Tribune), le Times de Londres et Le Figaro du 15 avril 2011 (plus dans Al Ayat, présenté comme un quotidien du monde arabe par Le Figaro) nous représente le signe que les USA veulent revernir au premier rang de l’intervention BAO en Libye. Cela est écrit dans le Guardian du 15 avril 2011: «President Obama today signals the return of America… Libye: de l’incertitude de l’engagement US à une prospective de grande crise

Le JSF, “déstructurateur” déstructuré

Le JSF, déstructurateur déstructuré 30 août 2010 On réunira deux éléments concernent le JSF (F-35) dans de récentes évolutions, qui peuvent sembler rassurantes aux partisans du programme, qui ne le sont pas vraiment, sinon pas du tout, selon notre appréciation. Il n’y a aucune raison pour que ce programme catastrophique, fondamentalement déstructurant, cesse de l’être dès lors qu’on passe à la séquence des ventes forcées, et toutes les raisons du monde pour le contraire. Le premier éléments concerne la commande du JSF par le Canada, cette commande liée à la poursuite et à l’approfondissement de l’intégration dans NORAD. Nous vous renvoyons à Ouverture libre du… Le JSF, “déstructurateur” déstructuré

L’“engagement objectif”, nécessité de la résistance : le cas Engelhardt

Tom Engelhardt, éditeur du site TomDispatch.com, vient de publier un livre, The American Way of War How Bush’s Wars Became Obama’s, qui reprend nombre de ses chroniques publiées sur son site. Dan Froomkin, de Huffington.post, lui consacre un article ce 22 juillet 2010. Froomkin développe la description que fait Engelhardt au long de ses chroniques de la militarisation de l’Amérique, de la complète absorption de ce pays dans un système uniquement tourné vers la guerre. Cette description, quasiment aucun organe de la presse officielle, ou presse-Pravda n’est parvenue à la rendre d’une façon si structurée et si constamment détaillée. C’est sur ce point que nous… L’“engagement objectif”, nécessité de la résistance : le cas Engelhardt

Notes sur la “fatigue afghane” de Washington

Notes sur la fatigue afghane de Washington Depuis que nous avons publié, dans cette même rubrique, le 29 septembre 2009, une note sur BHO et ses généraux (et ses amiraux), un gros mois s’est écoulé. Alors que nous écrivions cette note, se posait la question d’une décision du président Obama concernant la nouvelle stratégie en Afghanistan, dans la logique de la mise à jour du plan McChrystal pour un renforcement décisif en Afghanistan. Parallèlement, mais d’une façon extrêmement imbriquée, la situation au Pentagone apparaissait très complexe, avec des tensions diverses selon les intérêts divers, et un bloc formé des généraux Petraeus et McChrystal. En un… Notes sur la “fatigue afghane” de Washington

Friedman (Thomas) “lâche” l’Afghanistan

Thomas Friedman, du New York Times, ne représente aucune opinion originale, aucune pensée de quelque intérêt, mais simplement l’indication utile d’être le porte-voix de certains intérêts («Thomas Friedman is nothing if not a megaphone for the corporate elite», selon Harveey Wasserman, de CommonDreams.org, le 29 octobre 2009). Dans sa colonne du New York Times le 28 octobre 2009, Friedman recommande de ne pas renforcer les contingent US en Afghanistan (plan McChrystal) et, implicitement, de préparer un retrait de ce pays. L’argumentation de Friedman est en général d’une originalité moyenne, pour qui a suivi d’un il critique l’engagement US en Afghanistan. Il se termine par ceci,… Friedman (Thomas) “lâche” l’Afghanistan

L’Afghanistan n’est pas le Vietnam: on sait d’avance qu’on a perdu…

Le week-end washingtonien a été marqué, au cours des habituelles émissions de TV d’entretien et d’interview, par le sentiment très grand que l’Afghanistan devient (redevient) un problème de première importance à Washington. Cela suit l’élection présidentielle en Afghanistan, qui tourne à la confusion et au désordre, et, plus précisément, les incertitudes profondes sur l’engagement US dans cette guerre. Ces circonstances confirment l’aspect pressant de l’affaire afghane, son implication désormais directe dans la politique intérieure US, l’incertitude du rôle du président, les spéculations sur une surprise type LBJ de 1968 et ainsi de suite. Un article de HuffingtonPost du 23 août 2009 résume bien le week-end… L’Afghanistan n’est pas le Vietnam: on sait d’avance qu’on a perdu…

Les Hollandais (la Cour des Comptes) s’aperçoivent que le JSF n’existe pas et que personne ne l’a rencontré

Normalement, disons d’après les consignes les plus optimistes, tout devait se passer comme ceci : l’actuel gouvernement néerlandais libéral de droite, minoritaire et démissionnaire avant les élections anticipées de novembre prochain, devait tout faire pour faire figurer l’engagement néerlandais dans le programme JSF dans les affaires courantes, et effectivement signer cet engagement. C’est impératif parce que les élections devraient voir la victoire des socialistes de centre-gauche (PvDA) qui ont inscrit une remise en cause de la participation néerlandaise dans le programme. Il s’agit du scénario optimiste, qui apparaît de plus en plus utopique depuis hier. La Cour des Comptes néerlandaise a mis son nez dans… Les Hollandais (la Cour des Comptes) s’aperçoivent que le JSF n’existe pas et que personne ne l’a rencontré