Du suprémacisme de la bêtise
Du suprémacisme de la bêtise 18 février 2022 (06H40) – Il est vrai qu’on peut penser sans réellement chercher la petite bête, que la politique étrangère britannique, essentiellement ici pour la subcrise ukrainienne, brille par son étonnant illogisme, voire son nihilisme, – voire si je veux briller par mon vocabulaire, – son auto-néantisation. Mais pourtant… Je découvre un autre qualificatif de cette politique, pas de mon chef mais dans celui d’un excellent historien et commentateur, le professeur John Laughland : la bêtise, qu’il a la sagesse de placer au-dessus des conspirations sans nombre qui ne cessent de peser sur notre dialectique… Voici ce qu’il dit… Du suprémacisme de la bêtise