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Maupassant et la politique moderne

Maupassant et la politique moderne « Maintenant qu’ils savent lire et écrire, la bêtise latente se dégage ». C’est dans Les Dimanches d’un Bourgeois, bref roman totalement anar et génial. Déjà, nous dit le maître, il faut être fou pour aller voter (cf. Mirbeau à la même époque ou même Bloy) : « En effet, livrer des millions d’hommes, des intelligences d’élite, des savants, des génies même, au caprice, au bon vouloir d’un être qui, dans un moment de gaieté, de folie, d’ivresse ou d’amour, n’hésitera pas à tout sacrifier pour sa fantaisie exaltée, dépensera l’opulence du pays péniblement amassée par tous, fera hacher des… Maupassant et la politique moderne

Au rythme du temps qui court, qui court…

Au rythme du temps qui court, qui court… 27 septembre 2024 (16H15) – Pris au piège ! Hier, pour nos petites et minutieuses activités, nous avons connu la mésaventure qui guette tout commentateur qui s’appuie sur l’actualité. Il faut dire que cette actualité est si rapide et si riche à la fois qu’elle nous donne de quoi mastiquer plusieurs fois, comme fait la vache avec son double estomac, de façon à découvrir ce qui se cache éventuellement sinon assurément derrière cette substance insaisissable, et qui peut enrichir nos réflexions. C’est le phénomène que j’ai somptueusement décrit, – je ne sais si je l’ai écrit pour… Au rythme du temps qui court, qui court…

Notes d’un regard métahistorique

Notes d’un regard métahistorique • A ce point du conflit qui mobilise toute notre attention, nous éprouvons le besoin de faire un tour d’horizon extrêmement large, nous concentrant sur les points qui nous paraissent importants. • Nous seulement, il s’agit de juger de la situation d’un point de vue métahistorique, – rien que cela ! – mais aussi du point de vue du missionnaire de la communication, producteur encore plus d’analyse et d’intuition que d’informations. • C’est dire si, au travers de considérations opérationnelles et événementielles, nous ferons en sorte de suggérer, d’induire, les éléments de notre méthode de travail : même pour un missionnaire,… Notes d’un regard métahistorique

Réconcilier Trump avec la logique ?

Réconcilier Trump avec la logique ? Le diplomate français Gérard Araud a une grande expérience des Etats-Unis. Ces deux derniers postes ont été de grand prestige et intimement lié aux USA, sous deux angles différents, et donc d’autant plus instructifs : ambassadeur de la France aux Nations-Unis, à New York City, de 2009 à 2014 ; ambassadeur de France auprès des Etats-Unis, à Washington D.C., de 2014 à 2019, jusqu’à sa retraite d’avril 2019. Araud fut certainement réputé pour ses prises de position extrêmement bellicistes, et aussi pour un pro-américanisme notamment renforcé lors de sa tenue de l’ambassade de France en Israël, de 2003 à… Réconcilier Trump avec la logique ?

Réconcilier Trump avec la logique ?

Réconcilier Trump avec la logique ? Le diplomate français Gérard Araud a une grande expérience des Etats-Unis. Ces deux derniers postes ont été de grand prestige et intimement lié aux USA, sous deux angles différents, et donc d’autant plus instructifs : ambassadeur de la France aux Nations-Unis, à New York City, de 2009 à 2014 ; ambassadeur de France auprès des Etats-Unis, à Washington D.C., de 2014 à 2019, jusqu’à sa retraite d’avril 2019. Araud fut certainement réputé pour ses prises de position extrêmement bellicistes, et aussi pour un pro-américanisme notamment renforcé lors de sa tenue de l’ambassade de France en Israël, de 2003 à… Réconcilier Trump avec la logique ?

Nous sommes « en temps de guerre »

Nous sommes « en temps de guerre » 17 avril 2020 – Hier soir, dans le 28 minutes de Arte réduit à la portion congrue >codivienne-19J’ai l’impression étrange d’être plongé dans mon objet d’étudetemps< qui fait l'intérêt de la remarque ; c'est-à-dire, pas n'importe quelle guerre mais cette guerre-là, la Grande, qui devait être courte (quelques mois), fraîche et joyeuse, et qui ne cessa de s'allonger (près de 4 ans et demi) dans des conditions terribles et affreuses, dans la terre torturée et le sang des hommes, chaque fois avec un terme ultime en vue, qui se trouvait, une fois atteint, affreusement prolongé en un… Nous sommes « en temps de guerre »

Washington D.C. : Coup d’État en marche

Washington D.C. : Coup d’État en marche L’ancien (1995-1999) Speaker de la Chambre des Représentants, le républicain Newt Gingrich, partisan de Donald Trump, était reçu hier sur la chaîne ABC.News par la présentatrice Martha Raddatz, pour la présentation de son livre Treason. Il était interrogé sur le thème de la possibilité que les élections soient l’objet d’une fraude massive pour empêcher l’élection de Donald Trump, qui est un des sujets du livre. Pour Gingrich, ce qui se passe aujourd’hui aux USA est un véritable >coup d’État en marcherévélations< faites contre lui, de se perdre dans les dédales de sa vanité. Mais Trump est aussi et… Washington D.C. : Coup d’État en marche

Contre le déni du monde : Cohen pro-Trump

Contre le déni du monde : Cohen pro-Trump Lorsqu’un homme comme Stephen F. Cohen fait indirectement l’apologie de Donald Trump, dans le domaine de la politique étrangère, ce n’est pas un événement sans importance. La raison en est le fait lui-même bien entendu mais aussi, et peut-être plus encore, le fait que Cohen, l’un des meilleurs spécialistes US de la Russie et grand opposant à la politique de déterminisme-narrativiste de fabrication d’une complète fiction (narrative) antirusse pendant la crise ukrainienne, est aussi un progressiste alors que Trump est classé comme populiste de droite, >xénophobefasciste< et >raciste>. Cohen écrit dans The Nation essentiellement, l’hebdomadaire de référence… Contre le déni du monde : Cohen pro-Trump

Et si je vous dis, moi, que Ron Paul n’existe pas…

L’affaire prend une tournure sympathique, comme si l’on visionnait une version modernisée de l’immortel film de Milos Forman, Vol au-dessus d’un nid de coucous. Nous voulons dire par là, nous, que la schizophrénie les guette, eux, tous ces malheureux, qui retournent et retournent leurs stylos, et sauvegardent l’article du temps passé, du temps béni où Ron Paul n’existait pas, pour constater qu’il n’est plus possible de s’y tenir puisqu’il semblerait que Ron Paul existe Il est vrai, même, que cette affaire commence à avoir un nom générique (Ron Paul Blackout), ce qui est un bien mauvais signe. (Lorsqu’un nom générique s’impose, on n’est plus très… Et si je vous dis, moi, que Ron Paul n’existe pas…