Aller au contenu

donilon

BHO choisit un antidépresseur massif pour sa dépression syrienne

BHO choisit un antidépresseur massif pour sa dépression syrienne Nous avons constaté ces derniers temps l’humeur dépressive (voir le 11 mai 2013) des USA et du bloc BAO vis-à-vis de la Syrie, notamment avec les doléances sévères de John Kerry (voir le 5 juin 2013) concernant la politique syrienne des USA depuis qu’a éclaté la crise en Syrie. Nous ne pourrons alors que constater que la nomination de Susan Rice à la tête du National Security Council (avec le complément de la nomination de Samantha Power comme ambassadrice des USA à l’ONU) peut se comparer à la prise d’un antidépresseur massif et brutal pour soigner… BHO choisit un antidépresseur massif pour sa dépression syrienne

L’étrange duo Poutine-BHO

L’étrange duo Poutine-BHO Le 15 avril, le conseiller à la sécurité nationale du président Obazma, Thomas Donilon, apportait à Poutine une lettre personnelle du président US. Le président russe va répondre incessamment à cette lettre, annonce Russia Today le 15 mai 2013, et la réponse sera apportée à Washington, pour être remise en mains propres à Obama par le conseiller pour les questions de sécurité nationale du président poutine, Nikolaï Patrouchev, le 20 mai. Le texte cité ne s’en tient certainement pas à cette nouvelle d’assez peu d’intérêt en elle-même, sinon pour détailler la réciprocité minutieuse donnée à cet échange. Le texte rapporte en effet… L’étrange duo Poutine-BHO

Relations Russie-USA sur “liste noire”

Relations Russie-USA sur liste noire Nous avons déjà signalé (voir notamment le 10 décembre 2012) la guerre de communication entre les USA et la Russie à propos de listes noires de personnalités d’un des deux pays interdites d’accès à l’autre, à partir de l’initiative de la Loi Magnitsky votée par le Congrès US. La Russie avait riposté à l’initiative unilatérale et particulièrement hostile du Congrès par sa propre loi, en décembre 2012 (voir le 14 décembre 2013). Il s’agissait des préliminaires de la guerre, la déclaration de guerre si l’on veut ; nous voici désormais aux premiers échanges Vendredi dernier, l’administration publiait une liste de… Relations Russie-USA sur “liste noire”

L’étrange rencontre Poutine-Donilon

Il y a eu cette rencontre, impromptue semble-t-il, entre Vladimir Poutine et le conseiller de sécurité nationale du président Obama Thomas Donilon, le 4 mai, à Moscou. Nous avions fait brièvement mention de cette visite le 9 mai 2012. Parlant des problèmes que constitue l’ingérence US dans les affaires intérieures russes, avec le phénomène de l’>agression douce< (organisation et soutien de l'activisme de l'opposition anti-Poutine), nous écrivions : «Il y a eu une rencontre discrète et impromptue, le 4 mai, en marge de la conférence de Moscou sur les antimissiles, entre Poutine et le directeur du National Security Council et conseiller d’Obama pour les affaires… L’étrange rencontre Poutine-Donilon

L’opposition russe chez elle à l’ambassade US

Voici quelques documents intéressants montrant l’opposition russe défilant à l’ambassade US, où vient de s’installer, depuis la fin de l’automne dernier, l’ambassadeur McFaul, spécialiste de l’agitation. Ces films datent de janvier 2012. C’est Tony Cartalucci, sur son site nommé LandDestroyer.blogspot, qui publie, ce 6 mai 2012, une série de documents vidéo montrant diverses personnalités de l’opposition se rendant à l’ambassade US, ou en sortant, aux alentours de la mi-janvier 2012. C’est à cette époque qu’une réunion de coordination rassembla McFaul et les principaux dirigeants de l’opposition (les sujets des diverses vidéos), pour préparer des actions anti-Poutine dans l’esprit des actions de type –>révolution de couleuragression… L’opposition russe chez elle à l’ambassade US

Notes sur l’“amitié” USA-Israël

Notes sur l’amitié USA-Israël Dans une grosse décade, autour du 5 mars, le président Obama reçoit son ami, le Premier ministre Benjamin Bibi Netanyahou. Il s’agit d’une nouvelle passe d’armes entre les deux amis, unis dans leur opposition à l’Iran par une querelle épouvantable et quasiment sanglante. Il y a déjà eu plusieurs épisodes remarquables dans la séquence actuelle (depuis décembre 2011, que la crise iranienne a commencé à se transformer en crise haute). Celui-ci est particulièrement gratiné et s’est concrétisé autour du jugement de Netanyahou, fuité vers Haaretz, que le général Dempsey, président du comité des chefs d’état-major US, est un serviteur de l’Iran… Notes sur l’“amitié” USA-Israël

Le départ de Jones : paralysie et impuissance

Et ces termes de paralysie et impuissance ne s’appliquent pas vraiment au général James Jones, qui démissionne de son poste de directeur du National Security Council (conseiller du président pour les questions de sécurité nationale, ou si l’on veut, ministre personnel des affaires étrangères et de la défense du président). Pourtant son départ, derrière les grotesques déclarations d’autocongratulation officielles, est accompagné d’appréciations critiques d’une rare intensité, portant sur l’effacement de Jones, son incapacité à conseiller efficacement le président, à affirmer sa prééminence sur les questions de sécurité nationale, bref, ce qui est désigné comme sa faiblesse, mais cela en termes bureaucratiques certes. Il est remplacé… Le départ de Jones : paralysie et impuissance