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RapSit-USA2023 : Là est la Suite du Tout

RapSit-USA2023 : Là est la Suite du Tout 24 juillet 2023 (19H15) – Je reconnais bien volontiers une insistance particulière à signaler à mes quelques fidèles lecteurs l’importance essentielle au-dessus de tout et du reste, y compris de l’Ukraine, de la situation du système de l’américanisme. Je parle bien de « système de l’américanisme », comme je parle souvent d’ »américanistes » et non d’ »Américains », parce que je considère que l’esprit de système a complètement perverti aux USA l’ »esprit de patrie » qu’on avait tenté d’y installer. Donc, pour mon compte, les États-Unis d’Amérique, ou dit plus rapidement et singulièrement « l’Amérique », qui n’ont jamais existé en tant que nation, n’existent… RapSit-USA2023 : Là est la Suite du Tout

RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ?

RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ? Contrairement à 2015-2016, et à 2020 d’une certaine façon à cause de la crise du Covid, Trump aborde l’élection présidentielle de 2024 avec un objectif et un plan bien identifiés (en même temps, bien sûr, qu’une position pour l’instant très avantageuse, autant pour sa désignation comme candidat républicain que dans l’hypothèse d’un affrontement avec Bidon. On notera (on le verra plus loin) que c’est également le cas de Robert Kennedy, Jr, avec les mêmes plan et objectif d’ailleurs, – c’est-à-dire l’attaque du DeepState, l’État profond, selon une stratégie et une méthodologie parfaitement claire là aussi. Cette clarté du… RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ?

RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ?

RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ? Contrairement à 2015-2016, et à 2020 d’une certaine façon à cause de la crise du Covid, Trump aborde l’élection présidentielle de 2024 avec un objectif et un plan bien identifiés (en même temps, bien sûr, qu’une position pour l’instant très avantageuse, autant pour sa désignation comme candidat républicain que dans l’hypothèse d’un affrontement avec Bidon. On notera (on le verra plus loin) que c’est également le cas de Robert Kennedy, Jr, avec les mêmes plan et objectif d’ailleurs, – c’est-à-dire l’attaque du DeepState, l’État profond, selon une stratégie et une méthodologie parfaitement claire là aussi. Cette clarté du… RapSit-USA2023 : La peau du DeepState ?

RapSit-USA2023 : La “bataille existentielle“ de Trump

RapSit-USA2023 : La >bataille existentielle> de Trump Depuis le 9 juin, Donald Trump est sous le coup d’une inculpation fédérale à propos de l’affaire des documents saisis ou contrôlé il y a deux ans par le FBI à sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, et d’autres documents que le FBI réclame à l’ancien président depuis cette incursion. C’est de loin l’action en justice contre Trump, – il y en a d’innombrables, comme l’on sait, – la plus grave ; notamment parce qu’il s’agit d’une action fédérale, impliquant directement de département de la justice (DoJ) et le FBI. D’une façon générale, les réactions ont été de… RapSit-USA2023 : La “bataille existentielle“ de Trump

RapSit-USA2023 : La “bataille existentielle“ de Trump

RapSit-USA2023 : La >bataille existentielle> de Trump Depuis le 9 juin, Donald Trump est sous le coup d’une inculpation fédérale à propos de l’affaire des documents saisis ou contrôlé il y a deux ans par le FBI à sa résidence de Mar-a-Lago, en Floride, et d’autres documents que le FBI réclame à l’ancien président depuis cette incursion. C’est de loin l’action en justice contre Trump, – il y en a d’innombrables, comme l’on sait, – la plus grave ; notamment parce qu’il s’agit d’une action fédérale, impliquant directement de département de la justice (DoJ) et le FBI. D’une façon générale, les réactions ont été de… RapSit-USA2023 : La “bataille existentielle“ de Trump

Complexité et puanteur des égouts à “D.C.-la-folle”

Complexité et puanteur des égouts à >D.C.-la-folleMr. Propre< remarquable en 2016 en protégeant la veuve et l'orphelin non->déplorables< que représentait évidemment Hillary, quitta en 2009 le ministère de la justice [DoJ] pour passer chez Lockheed-Martin [LM] pour quelques années, – 2009-2013 ; qu'il quitta LM pour la direction du FBI, annexe du DoJ, avec un bonus >au-revoir-et-merci-beaucoup< de $6 millions ; cela, juste récompense, pour avoir assuré 17 contrats de cette firme avec le département d’État que dirigeait justement Hillary, comme cela se trouve, pendant la similaire période 2009-2013.) Effectivement, ce texte est un exemple à tous égards parce qu’il s’agit d’un commentaire d’un lecteur… Complexité et puanteur des égouts à “D.C.-la-folle”

De l’incontrôlabilité des choses (la crise Murdoch)

Dans la crise Murdoch, c’est le rythme qui domine tout, rythme des événements, rythme des révélations, rythme des mesures nécessairement prises (démissions, arrestations, enquêtes, etc.), le rythme à laquelle la pièce se détricote. La constat est celui d’une absence complète de contrôle des événements, le phénomène illustre une immense dynamique d’incontrôlabilité, la perspective est la poursuite d’une marche forcée dans une sorte de terra incognita qui englobe l’ensemble divers et puissant du pouvoir anglo-américaniste, ou de l’anglosphère. Au niveau du groupe Murdoch, les démissions et arrestations se multiplient, touchant désormais les structures de direction du groupe lui-même, avec la démission et l’arrestation de Rebekah Brooks,… De l’incontrôlabilité des choses (la crise Murdoch)

BAE plaide coupable de tout ce que vous voulez et passe à la caisse

BAE plaide coupable de tout ce que vous voulez et passe à la caisse Le Guardian triomphe. Le quotidien britannique poursuit depuis des années une campagne d’investigation et d’accusation contre le géant britannique de l’armement BAE, désormais officiellement classable comme le champion du monde toutes catégories pour fraudes et corruption en tous genres. Toute la presse britannique annonce ce soir que BAE a capitulé devant le département de la justice US (DoJ) et le Serious Fraud Office (SFO) britannique, a reconnu sa culpabilité dans toutes les charges relevées contre lui et accepté de payer $400 millions au DoJ, £30 millions au SFO plus diverses autres… BAE plaide coupable de tout ce que vous voulez et passe à la caisse

De retour, BAE et son scandale

BAE (pour British Aerospace) Le conglomérat géant britannique de la production d’armement, est à nouveau en lice pour une bataille contre le Serious Fraud Office (SFO), l’organisme public britannique chargé de réprimer notamment les actes de corruption. Le SFO avait laissé un délai jusqu’au 30 septembre à BAE pour une transaction, portant sur le paiement d’une amende de £500 millions par BAE, concernant des affaires de fraudes dans plusieurs affaires de ventes de systèmes, notamment en Afrique du Sud, en Roumanie, en Tchéquie et au Zimbabwe. BAE a refusé. Le SFO se tourne vers le ministère de la justice britannique pour obtenir l’autorisation d’ouvrir une… De retour, BAE et son scandale

Oh My Lord, les Lords sont amers

Oh My Lord, les Lords sont amers 1er août 2008 En un sens, ont dit mercredi les Lords de la Chambre du même nom, ce fut pire que la Bataille d’Angleterre, parce que cette bataille-là est perdue. L’honorable Chambre des Lords a statué sur la question du Serious Fraud Office (SFO) interrompant d’autorité l’enquête sur l’affaire de corruption du marché Yamamah, impliquant le Royaume-Uni (BAE) et l’Arabie Saoudite. Le cas est précis et ne concerne pas la question plus générale du scandale Yamamah, dont il a été admis implicitement, à cette occasion, qu’il s’agit effectivement d’un scandale de corruption massif,  mais on n’y peut rien… Oh My Lord, les Lords sont amers

BAE, Wanted?

La bataille autour de BAE est souterraine aux USA mais elle n’en est pas moins intense, et elle en est d’autant plus intense dira-t-on. Elle se livre autour du fait majeur du fractionnement du pouvoir US, de l’intense concurrence entre les ministères et leurs bureaucraties, soutenue par la concurrence entre groupes industriels. C’est dans ce cadre de concurrence politique intérieure féroce qu’il faut placer la nouvelle extraordinaire de l’interpellation de Mike Turner (CEO de BAE avant son départ prochain de cette position de direction), opérée à l’aéroport George Bush (le père) de Houston, la semaine dernière, par des fonctionnaires du FBI agissant pour le compte… BAE, Wanted?

Après avoir acheté l’Arabie, BAE songe à acheter le département de la justice US

Quand on tient une bonne méthode, il est absurde de ne pas en user jusqu’à plus soif. C’est ce que se dit BAE qui envisagerait, selon le Guardian d’aujourd’hui, d’offrir à l’administration Bush, notamment au département de la justice (DoJ), un arrangement financier pour qu’il ne soit point fait un écho public de ses diverses turpitudes (mais est-ce bien le mot?) saoudiennes. C’est d’une pratique courante aux USA, mais cela est généralement accompagné des attendus de cet arrangement et de détails sur le marché conclu, ce que BAE voudrait éviter comme la peste. Le DoJ est un adversaire coriace. «Political moves are being floated which… Après avoir acheté l’Arabie, BAE songe à acheter le département de la justice US

BAE divise l’administration Bush : State versus Justice

Le scandale BAE/Yamamah continue son aventure, de rebondissements en rebondissements. Cette fois, après l’épisode juridique londonien, on revient à Washington avec le Financial Times de ce jour. Le quotidien londonien nous apprend que le département de la Justice (DoJ) s’oppose à la position du département d’Etat qui veut autoriser BAE et le gouvernement britannique à exporter les technologies US qui se trouvent dans le chasseur Typhoon. Il s’agit de l’énorme marché entre BAE et l’Arabie Saoudite portant sur 72 Typhoon et un volume de £20 milliards. «BAE, the British defence company, is the prime contractor to the UK government on the deal. The state department… BAE divise l’administration Bush : State versus Justice

BAE et les “special relationships”: du sport

Avec le retour au premier plan de l’affaire BAE-Yamamah, mais cette fois selon une orientation plus typiquement américaniste, on peut mesurer combien les tensions USA-UK à l’occasion de cette affaire sont grandes. L’article du New York Times déjà signalé nous apprend deux choses principalement: Le département de la justice à Washington (DoJ) a obtenu la coopération de la Suisse, ce qui impliquerait que le DoJ pourrait avoir accès aux détails de divers paiements, plus ou moins illicites, ou déclarés tels, dans les diverses affaires BAE impliquées. Le DoJ a également obtenu la coopération d’un témoin important, l’homme d’affaires Peter Gardiner, qui a déposé fin août… BAE et les “special relationships”: du sport

Quand l’affaire BAE-Yamamah risque de devenir américaniste, sur l’autel de la lutte anti-corruption…

L’habitude était prise. Lorsqu’on voulait des nouvelles sur la saga du scandale BAE (principalement l’affaire des marchés Yamamah et des diverses enquêtes de corruption entre le Royaume-Uni et l’Arabie Saoudite), on ouvrait les pages du Guardian (ou bien la nouvelle était en première page). C’est un tournant: les dernières nouvelles de l’affaire BAE, après plusieurs semaines de silence qui firent croire à son enterrement, sont dans le New York Times du 25 novembre et c’est seulement dans le Guardian du lendemain, c’est-à-dire d’aujourd’hui, qu’on en trouve l’écho. Nous parlons ici de la perception, c’est-à-dire de l’intérêt des médias et (ensuite) du Congrès, en attendant d’autres… Quand l’affaire BAE-Yamamah risque de devenir américaniste, sur l’autel de la lutte anti-corruption…

BAE, c’est la rentrée!… Nouvelles attaques, enquête (US) obstruée, plainte

Cela va devenir maintenant une tradition. La rentrée pour BAE, c’est plutôt les nouvelles concernant les diverses plaintes et enquêtes que le contrat de 72 Typhoon signé par les Saoudiens il y a une semaine. (Importante mesure prise par les Saoudo-Britanniques : au diable Yamamah le mal-nommé, le contrat géant de £4,2 milliards est nommé Salam, qui signifie paix en bon français. Le mois prochain, Prince Adallah vient à Londres en visite officielle, visiter ses sujets.) Le Guardian, fidèle à sa tradition et à sa spécialisation, fait de nouvelles révélations. Il nous annonce aujourd’hui que le gouvernement travailliste met une réelle mauvaise volonté à aider… BAE, c’est la rentrée!… Nouvelles attaques, enquête (US) obstruée, plainte

Le scandale BAE et la perception des rédactions parisiennes

Le Monde à nouveau comme centre de notre intérêt (et quel soulagement, sans doute encore, pour nos lecteurs si étrangers à l’anglais). Il s’agit d’un article du correspondant du journal à Londres, tel qu’il nous a été signalé par notre lecteur Balajo (notre Forum en date du 26 juillet), avec nos remerciements à son intention. Il s’agit d’un article sur l’affaire BAE et les difficultés où l’intervention du DoJ de l’administration GW plongent le gouvernement Gordon Brown, et particulièrement la ministre de l’intérieur Jacqui Smith. Sur le dilemme que ce prolongement de l’entrée en piste du DoJ pose à Londres, nos lecteurs peuvent se reporter… Le scandale BAE et la perception des rédactions parisiennes

Entre marteau et enclume

Entre marteau et enclume 16 juillet 2007 Un article du Guardian de ce matin nous dit que l’affaire BAE-Yamamah achève sa mue en devenant une crise politique UK-USA. L’affaire avait pris un tour polémique nouveau avec l’implication de Prince Bandar, une dimension juridique nouvelle avec l’ouverture d’une enquête par le DoJ américain, dimension juridique elle-même devenue dimension stratégique nouvelle. La transformation est achevée en touchant le domaine politique. Le Guardian révèle que le DoJ a officiellement demandé un accès à des documents secrets (paiements secrets aux Saoudiens, dont Bandar), demande par ailleurs logique et inévitable dès lors que le DoJ lançait son enquête. C’est l’accès… Entre marteau et enclume

Shocking, — le DoJ a l’intention d’explorer jusqu’aux plus vieux secrets des bijoux de la famille BAE

Les fuites qui entourent l’affaire BAE se poursuivent et concernent désormais le nouveau front central de cette affaire : l’enquête du département de la justice (DoJ) américain. Le Times de Londres nous apprend aujourd’hui que le DoJ entend donner à son enquête une ampleur historique inattendue. Il entend remonter à la racine des contrats Al-Yamamah et de la phase actuelle des relations entre le Royaume-Uni et l’Arabie Saoudite, c’est-à-dire 1983-1985. Il a contacté les personnalités au cur de l’origine de l’affaire, jusqu’aux icônes elles-mêmes, comme la baronne Thatcher, alors Premier ministre, et le ministre de la défense d’alors, Lord Heseltine. L’émotion est considérable. «The DoJ… Shocking, — le DoJ a l’intention d’explorer jusqu’aux plus vieux secrets des bijoux de la famille BAE

Comment GW ne pourra guère aider ses amis britanniques

L’un des aspects de l’énorme polémique BAE-Yamamah est l’action du département US de la Justice (DoJ), qui a lancé une enquête contre le groupe britannique, et la capacité de la Maison-Blanche d’influer sur cette enquête. Des précisions à cet égard sont apportées par le Times de Londres, repris par un article du site de Lyndon LaRouche. L’idée circonstancielle est que la Maison-Blanche est aujourd’hui trop faible pour faire pression sur le DoJ, que la direction politique du DoJ n’est pas très reluisante et singulièrement privée d’autorité avec le ministre Gonzales qui est sur la corde raide face au Congrès. C’est-à-dire que la situation normale est… Comment GW ne pourra guère aider ses amis britanniques

BAE, ou la boucle est bouclée

BAE, ou la boucle est bouclée 29 juin 2007 Le commentaire de Con Coughlin dans le Daily Telegraph de ce jour représente la première riposte argumentée venue des Britanniques à la suite de l’ouverture de l’enquête du DoJ contre BAE dans la question du scandale Yamamah. Il représente l’indice d’une montée de la tension entre les deux pays alliés et cousins, alors que jusqu’ici, à l’image des éditos du Financial Times, la position de l’establishment britannique était plutôt du type standard vertueux (la justice doit suivre son cours), appuyé sur un agacement certain de la City devant ce que l’affaire BAE révèle des pratiques du… BAE, ou la boucle est bouclée

BAE : qui n’a pas son enquête?

BAE devient une chronique et son cas suscite un phénomène qui commence à ressembler à la curée. Après l’ouverture de l’enquête sur BAE par le DoJ, c’est le Serious Fraud Office (SFO) de Londres qui envisage de rouvrir sa propre enquête. Le Financial Times annonce aujourd’hui qu’il s’agit d’une possibilité actuellement envisagée par le directeur du SFO. La condition serait que la cause de l’arrêt de l’enquête ordonné en décembre 2006 (sécurité nationale) disparaisse Il faut noter que le directeur du SFO expose cette possibilité alors que les deux principaux instigateurs de la décision de décembre 2006 ont quitté le gouvernement (démission) : Tony Blair… BAE : qui n’a pas son enquête?

Les sombres perspectives américanistes de BAE

Dans The Independent, l’un des commentateurs de la rubrique économique du quotidien, Jeremy Warner, met dans sa chronique Outlook d’hier, le destin de BAE en perspective à la suite de la décision US d’ouvrir une enquête. (Décision du département de la justice, officielle depuis le 25 juin.) Sans s’attacher à la polémique concernant le cas, son appréciation est à la fois éclairée et pessimiste. Warner se place du point de vue de la stratégie de BAE, résolument orientée vers les USA. Il en tire argument pour affirmer que la décision du DoJ place BAE dans une position pire qu’au moment de l’enquête du SFO britannique.… Les sombres perspectives américanistes de BAE

BAE-Yamamah, est-ce le scandale du siècle ? LaRouche y croit

Nous avons eu notre attention attirée par un de nos lecteurs sur l’intérêt de Lyndon LaRouche pour l’affaire BAE. Dominique Larchey-Wendling nous indiquait un texte de ce même LaRouche sur une éventuelle connexion Cheney-BAE-Arabie. Sur le site de LaRouche, on a la confirmation que celui-ci s’intéresse effectivement énormément au scandale BAE-Yamamah. LaRouche, grand adversaire de Dick Cheney, est un personnage contesté de la scène politique américaine. D’abord très marginalisé et accusé de diverses tendances extrémistes dans les années 1970 et 1980, il est depuis plus aisément admis comme représentatif d’une tendance politique, par ailleurs très critique de l’establishment US en place, notamment des républicains, et… BAE-Yamamah, est-ce le scandale du siècle ? LaRouche y croit