Aller au contenu

direction

RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond

RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond Le Grand-Prêtre lui-même, Saint-Barack, nous dit qu’il se peut qu’on soit allé >trop loinA cancel too far< si l'on veut, pour paraphraser l'expression choisie par Cornelius Ryan d'« Un pont trop loin » pour caractériser l’opération sur Arnhem, en septembre 1944. Mais dans ce cas (Obama), cela pourrait bien être plus une question de grande stratégie qu’une question de simple quoique grande tactique. Cela signifierait que le Grand-Timonier de la postmodernité d’Outre-Atlantique éprouverait une réelle préoccupation à l’égard des excès désormais manifestes du mouvement qu’il a largement contribué à lancer. Quoi qu’il en soit, – et… RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond

RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond

RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond Le Grand-Prêtre lui-même, Saint-Barack, nous dit qu’il se peut qu’on soit allé >trop loinA cancel too far< si l'on veut, pour paraphraser l'expression choisie par Cornelius Ryan d'« Un pont trop loin » pour caractériser l’opération sur Arnhem, en septembre 1944. Mais dans ce cas (Obama), cela pourrait bien être plus une question de grande stratégie qu’une question de simple quoique grande tactique. Cela signifierait que le Grand-Timonier de la postmodernité d’Outre-Atlantique éprouverait une réelle préoccupation à l’égard des excès désormais manifestes du mouvement qu’il a largement contribué à lancer. Quoi qu’il en soit, – et… RapSit-USA2021 : On cancel tout le monde en rond

La chasse-au-Sanders est ouverte, chaos compris

La chasse-au-Sanders est ouverte, chaos compris USA-2020 est décidément passionnant, avec ces allers-retours qui décrivent un parti démocrate extraordinairement en guerre, outre de l’être contre les républicains et surtout le président (haine antiTrump), cette fois en guerre ouverte contre lui-même… D’autre part, dirait un observateur scrupuleux et de libre esprit, il s’agit après tout d’un remake, en un peu plus grandiose certes, de USA-2016… (>Plus grandiose< observons-nous parce que plus disputé, et désormais nous-même habitués à la corruption absolue et extraordinairement visible de ce parti, sans la moindre tentative de dissimulation, et donc nous-mêmes prompts à en repérer les signes, quitte même à les solliciter… La chasse-au-Sanders est ouverte, chaos compris

L’effondrement de l’homme politique

En fait, c’est le contraire qui serait stupéfiant : qu’il n’y ait pas une crise de l’effondrement l’homme politique. Le constat s’adresse surtout au monde occidental, ou ce qu’il nous arrive de nommer BOA (bloc américaniste-occidentaliste). C’est dans ce domaine que la crise de l’homme politique, à l’ombre émulatrice de la crise générale et de la crise du Système, est la plus aiguë et, surtout, la plus spécifique, marquée par la rapidité de son expression quantitative, essentiellement au travers de l’appréciation statistique de la popularité de ces hommes politique. Nous ne parlons pas de leur autorité, ni de leur légitimité, car ces valeurs qualitatives ont… L’effondrement de l’homme politique

“Qui a peur du grand méchant loup ?“

Premier point à noter : le sévère avertissement, très officiel, des USA au Royaume-Uni pour ses réductions de dépenses de défense. Hillary Clinton et Gates l’ont dit officiellement, dans une allusion directe au Royaume-Uni. Clinton parlait en réponse à une question de la BBC sur les réductions de dépenses de défense en Europe, avec une mention explicite et appuyée au Royaume-Uni. Le Guardian du 14 octobre 2010 expose aussi la réaction de la porte-parole du Premier ministre britannique, qui fait montre d’une impudence remarquable en applaudissant Clinton, et en disant implicitement : elle parle pour les autres pays de l’OTAN en disant qu’il faut que… “Qui a peur du grand méchant loup ?“

Une rencontre inattendue au sein de l’OTAN: la France et la Turquie?

Deux postes importants, d’ores et déjà fournis ou à fournir, sont actuellement particulièrement importants à l’OTAN, non seulement pour leurs caractéristiques intrinsèques mais surtout pour leur éventuelle dimension politique. Ils concernent la Turquie et la France. Le premier de ces deux postes vient d’être créé. La décision avait été prise en avril dernier, pour donner à la Turquie un poste important et apaiser sa colère après la nomination du Danois Rasmussen comme Secrétaire Général, et la convaincre de soutenir cette nomination. (Référence au rôle de Rasmussen et du Danemark dans la polémique des caricatures du prophète qui avait rendu furieux le monde musulman en 2006.)… Une rencontre inattendue au sein de l’OTAN: la France et la Turquie?

Remarques sur l’équation du pouvoir à Moscou

Le mot célèbre de Churchill sur le pouvoir soviétique («une énigme enrobée dans un mystère») est un des legs dialectiques de la Guerre froide. Les remarques faites dans la note précédente (ce 11 décembre 2009) sur la répartition du pouvoir à Moscou vue par l’OTAN montrent que la formule reste, pour certains, très actuelle. Elle se résume par la question: qui est le maître à Moscou? Nous proposerions une autre approche en nous interrogeant sur le fait de savoir s’il y a un seul maître à Moscou, et s’il est nécessaire qu’il n’y en ait qu’un. Notre approche consiste à nous appuyer sur une référence… Remarques sur l’équation du pouvoir à Moscou

Le général Sanchez et la crise de la direction US

Le général Sanchez commanda le théâtre d’opération irakien de l’été 2003 à l’été 2004. Il se retira de l’U.S. Army à l’été 2006 après avoir refusé une quatrième étoile que lui proposait Rumsfeld. Il craignait d’avoir à faire face à un processus de confirmation chaotique et voué à l’échec devant le Sénat, notamment à cause du scandale d’Abou Ghraib (tortures) mis à jour durant son commandement. La dépêche d’AFP du 3 juin qui rend compte des déclarations de Sanchez qui nous intéressent reste assez vague et confuse sur cette circonstance, ce qui implique un aspect polémique évident. Les déclarations de Sanchez sont radicales et concernent… Le général Sanchez et la crise de la direction US