Notes sur la voie de la Syrie à la “crise haute”
Notes sur la voie de la Syrie à la crise haute «C’est un triste jour» nous dit gravement, samedi dernier, l’ambassadeur français à l’ONU, Gérard Arrau, dont nous pûmes in illo tempore apprécier toute l’élégance du conformisme du Quai d’Orsay lorsqu’il prolifère, lorsqu’il était en poste à l’OTAN. Par ces temps de pensée politique française à ce niveau de bassesse, il prolifère dans les sous-sols, et Arrau, conforme à son ministre, nous le confirme. Son appréciation («It’s a sad day», dit en américaniste à la presse internationale, pour situer le sous-sol où nous sommes) concerne la défaite de la motion du bloc BAO pour rétablir… Notes sur la voie de la Syrie à la “crise haute”