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L’UE en fureur versus USA-Trump

L’UE en fureur versus USA-Trump Ici, nous mettrons de côté, comme nous procédons à l’habitude, toute considération technique et spéculations politico-bureaucratiques concernant la >décision< de Trump sur le traité multilatéral avec l'Iran (JCPOA). La seule remarque de cette sorte qui nous importe pour notre approche, c'est le constat que la >décision< de Trump renvoyant finalement et de facto la décision au Congrès ajoute la confusion à la force symbolique de la décision. La >confusion< est dans le sens où l'on ignore où nous emmènera le Congrès, tandis que subsiste, intacte, la >force symbolique< de ce qui est perçu comme une démarche tendant à mettre en… L’UE en fureur versus USA-Trump

Portrait de soldat (II)…

Sont-ils dans la même réalité? De quelle réalité parlons-nous ? Qu’est-ce que ça, la réalité? Après le lieutenant général Chiarelli, qui s’écroule devant les journalistes, presque en larmes, à son départ d’Irak, voici le brigadier général Mark O. Schissler, de l’Air Force (toujours U.S., of course). Changement complet de ton. L’un s’effondre, l’autre tient droitement le monde dans ses mains. Avec Schissler, ça va marcher droit. Pardon, avec Schissler, c’est la guerre apocalyptique, la guerre de cent ans, la guerre de tous les temps, avec cette angoisse du formidable guerrier du Pentagone : tiendront-ils, à l’arrière, ces connards de civils? Car Schissler, lui, tient et… Portrait de soldat (II)…

Le mot de Françoise

Le mot de Françoise 24 novembre 2002 L’incident a fait du bruit et a bien fait rire, c’est la coutume, lorsque nous apprîmes que Françoise Ducros, directrice de la communication du Premier ministre canadien Jean Chrétien avait traité GW de moron, ce qui signifie, au choix : abruti, crétin, débile. Ducros a offert sa démission à Chrétien. Celui-ci a refusé. Il a dit que le mot était parmi les manies répétitives de Ducros et qu’avec un nom comme le sien, lui-même, Jean Chrétien, avait été souvent traité par elle de moron. Il ne s’en est jamais offusqué, il connaît bien sa Françoise. L’incident est donc… Le mot de Françoise