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Comment le Hezbollah a gagné bien plus que la guerre

Nous vous recommandons trois articles successivement parus sur atimes.com, qui forment en fait les trois parties d’une étude générale sur le conflit entre Israël et le Hezbollah en juillet-août, sur le thème de «How Hezbollah defeated Israel». Successivement : La guerre du renseignement, le 12 octobre ; La guerre terrestre, le 13 octobre ; La guerre politique, le 14 octobre. Il s’agit de l’ensemble d’analyses et d’exposés de faits et situations le plus riche et le plus complet publié jusqu’à ce jour sur le conflit. Les deux auteurs sont honorablement connus et connus comme des spécialistes confirmés et indépendants, avec de nombreuses connexions et réseaux… Comment le Hezbollah a gagné bien plus que la guerre

Armageddon pour les républicains ou/et pour l’Amérique ?

Martin Kettle, dans le Guardian du jour, nous fait une description effectivement apocalyptique de ce que pourrait être le sort des républicains aux élections de novembre prochain aux USA. Mais, surtout, il nous trace, en filigrane, le portrait d’une Amérique très pessimiste, dépressive, en plein désarroi. Une Amérique imprévisible, avec une administration corrompue et à la dérive, une opposition inexistante, des guerres catastrophiques, une crise financière et budgétaire à peine dissimulée Cela fait beaucoup d’éléments troublants. Par conséquent, le vocabulaire pour apprécier tout cela est à la fois biblique et météorologique, type crise climatique. « …As the political analyst Charlie Cook puts it: It’s bad.… Armageddon pour les républicains ou/et pour l’Amérique ?

Le sens de la crise se précise avant le point de non-retour de la crise

Le sens de la crise se précise avant le point de non-retour de la crise 10 mai 2006 Une observation dans le texte de l’ancien conseiller de Robin Cook, David Clark, le 8 mai dans The Guardian, résume la course prise désormais par la crise iranienne (cette observation soulignée en gras): Blair « may think it clever strategy to put pressure on Tehran by keeping all options open, but the Iranians are not the only ones who need deterring. » Malgré les apparence ou bien en dépit des affrontements de conception, la tendance fondamentale de la crise, ce que nous désignerions comme son courant profond,… Le sens de la crise se précise avant le point de non-retour de la crise

Il y a sans doute une “affaire Straw” et il y aura peut-être une “affaire Blair”

Il y a sans doute une affaire Straw et il y aura peut-être une affaire Blair 8 mai 2006 L’affaire devait passer comme une lettre à la poste et elle ne passe pas comme une lettre à la poste. La sanction contre Jack Straw (passé du Foreign Office aux relations avec le Parlement dans le gouvernement Blair, lors du remaniement du 4 mai), notamment à cause de son opposition à une attaque contre l’Iran, devient une affaire politique liée à cette seule question de la crise iranienne et aux relations entre les USA et le Royaume-Uni. Deux choses y concourent : • Les médias se… Il y a sans doute une “affaire Straw” et il y aura peut-être une “affaire Blair”

Une dimension étrange et effrayante du CMI américaniste

Une dimension étrange et effrayante du CMI américaniste Ci-dessous, nous republions une interview de Nick Cook, datant du 5 septembre 2002, sur The Atlantic Monthly. A l’époque, nous avions publié ce texte. Sa re-publication est complètement justifiée à la lumière des événements tels que nous les interprétons. L’important dans cette interview, qui concerne un livre publié par Cook à l’époque, concerne la dimension cachée du complexe militaro-industriel américain : la dimension et la place de ses >programme blacks< (secrets) dans ses développements, les recherches secrètes qui sont entreprises et, surtout, sa proximité des structures et des méthodes du complexe équivalent de l’Allemagne nazie. Dans ce… Une dimension étrange et effrayante du CMI américaniste

Le CMI à l&#39;origine

Le CMI à l'origine Notre idée de départ est qu’aujourd’hui, la principale, — et même, la seule force >organisée< aux USA est le complexe militaro-industriel. (Il existe certes une puissance générale qu'on nomme corporate power mais il s’agit plus d’une structure générale, avec ses processus et ses acteurs divers, — circuits d’argent, d’influence, lobbying, etc, ; le complexe, lui, est organisé, identifié précisément, il constitue une structure cohérente à l’intérieur du corporate power, et la seule avec des liens extrêmement forts, quasiment structurels et certainement fonctionnels, avec la structure de sécurité nationale qui est le bras armé du pouvoir.) • Nous utilisons le terme >organisée<… Le CMI à l&#39;origine