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L’étrange Congrès sous (étrange) influence

Il est vrai que la séance du Congrès des Etats-Unis, Chambre et Sénat réunis, qui vit l’intervention, le 25 mai, du Premier ministre d’Israël (voir aussi le texte du 27 mai 2011, de Badia Benjelloul) représente un cas extrême sans peu de précédent. Elle expose une situation qui, au-delà de son aspect insupportable, scandaleux, etc., devant cette sorte de subjugation devant un chef de gouvernement d’un pays étranger de l’assemblée législative représentant le peuple des Etats-Unis («We, The People», comme dit sereinement la Constitution), devrait commencer à être considéré comme une sorte de mystère, et étudié comme tel. C’est ainsi qu’on en ressent l’impression, en… L’étrange Congrès sous (étrange) influence