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complicité

La vérité comme négation de l’oubli

La vérité comme négation de l’oubli La domination économique allemande sur le continent européen s’est développée dans l’entre-deux guerres et pendant la guerre de 1939-1945. Elle s’est poursuivie au-delà sous la forme déjà pressentie et souhaitée par le Président de la Société Générale et du Comité d’Organisation des Banques lorsqu’il a déclaré dans une allocation à l’ambassade d’Allemagne à Paris le 10 septembre 1941 : « son espoir que les plans allemands seraient assez vastes pour décider la suppression des frontières douanières et la création d’une monnaie unique pour l’Europe ». (*) L’industrie et la haute finance française et allemande ont fait alterner et souvent… La vérité comme négation de l’oubli

Cette “estime particulière” entre Trump et Sanders…

Cette >estime particulière< entre Trump et Sanders... Il est très difficile d’avoir une opinion tranchée de Trump sur Sanders et de Sanders sur Trump. Ces deux candidats sont ces deux-là « que tout oppose et que l’essentiel rapproche », comme nous les avons qualifiés dans un des nombreux textes où nous évoquions leurs cas, à tous deux de concert, depuis l’origine de la séquence actuelle où les choses devinrent très sérieuses. Sanders et Trump ont déjà montré nombre de signes ambigus de ce que nous nommerions une >estime particulièreparticulieris agreeing to debate< and that he >looks forward to defeating him.< The idea for a debate… Cette “estime particulière” entre Trump et Sanders…

Le timon du monde est rompu

Le timon du monde est rompu 4 février 2013 – Nous allons poursuivre la chronique de la dissolution d’un axe fondamental, que nous définissons également, d’une façon plus solennelle, comme >le timon du mondetimon du monde< durant la guerre froide er, nécessairement, dupliqué dans un pseudo-timon du monde Russie-USA en pleine dégénérescence avec des phases successives. Du côté russe, ces phases ont été très marquées, très actives, très spécifiques, – de l’ère de déstructuration catastrophique d’Eltsine avec l’aide du Système (Wall Street, les prédateurs US et le reste), qui aboutit paradoxalement à l’émergence de Poutine en 1999 ; Poutine évita que cette déstructuration de la… Le timon du monde est rompu

Anonymous en ligne directe avec le FBI et Scotland Yard

Le groupe informel et complètement instructuré Anonymous a réussi un coup de maître, selon l’estimation même des autorités du Système, en enregistrant une conférence entre le FBI et Scotland Yard via leur courrier électronique. Une vidéo de 18 minutes reprenant tous les échanges interceptés a été mise en ligne. Bien évidemment, il s’agit de ce que Anonymous a bien voulu rendre public, les autorités ignorant depuis combien de temps existe cette capacité d’interception et où elle se situe. (Cette incertitude est illustrée par cette remarque du groupe, mise en ligne sur Twitter : «The FBI might be curious how we’re able to continuously read their… Anonymous en ligne directe avec le FBI et Scotland Yard

Conscience d’un “commentateur libre”

Conscience d’un commentateur libre 18 juin 2011 Sans aucun doute, ce que nous avons nommé, à l’imitation de Justin Raimondo, la persécution de Juan Cole (voir notre Bloc Notes du 17 juin 2011), devrait être considéré comme un cas important pour explorer l’état, à la fois de la liberté du commentateur libre, à la fois de ce que le commentateur libre fait de cette liberté, à la fois de la place que ce commentateur libre tient dans le Système. Par commentateur libre, nous entendons un commentateur qui n’est pas corrompu, dans le sens le plus large du mot, par sa position, ses privilèges, ses liens… Conscience d’un “commentateur libre”

Fait-on prêter serment à un saint ?

La séance d’audition du général Petraeus, au Congrès, hier, fut marquée de divers incidents. L’ancien officier de la CIA devenu contestataire, le commentateur Ray McGovern, se trouvait dans la salle. Il remarqua que Petraeus commençait sa déposition sans avoir été invité à prêter serment. Un incident (panne de micro durant dix minutes) permit à McGovern d’intervenir par une simple recommandation : «Faites-lui prêter serment» («Swear him in»). McGovern fut invité à quitter la salle mais Petraeus ne fut pas invité à prêter serment. (D’autres incidents émaillèrent l’audition, notamment des interventions du président de la commission des forces armées de la Chambre, le démocrate Skelton, contre… Fait-on prêter serment à un saint ?