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L’IED, ou l’apocalypse à portée de toutes les bourses

On sait que l’IED (Improvised Explosive Devices, en gros et notamment, les voitures-piégées, suicides, etc.) est tout en haut sur la liste des menaces pour le Pentagone, largement au-dessus des sous-marins lanceurs d’engins balistiques et des bombardiers furtifs bourrés de bombes thermonucléaires. Cette catégorisation menaçante a pris des proportions étonnantes. L’IED n’est rien moins que l’équivalent de la bombe atomique en 1942-45, en fric sans aucun doute. Pour en savoir encore plus et savourer l’amertume de la sottise technologique et postmoderniste, lisez l’article de Patrick Cockburn dans The Independent du 18 février. Cockburn nous fait un rapide et court rappel historique puis une récente évolution… L’IED, ou l’apocalypse à portée de toutes les bourses

Enfin des preuves

C’est donc la première fois que les USA fournissent des preuves de l’implication iranienne en Irak, conformément au plan de la nouvelle stratégie en Irak présentée au peuple américain le 10 janvier dernier. L’opération est en tous points similaire à celle qui mit l’Irak en accusation en 2002-2003 et mena à l’invasion de mars 2003. Elle est aussi élaborée, aussi précise, aussi imaginative, aussi fondée et aussi corroborée par les faits. A la place des armes de destruction massive de Saddam et de l’uranium enrichi pour construire la bombe des Irakiens, on trouve les IED (Improvised Explosive Devices) qui tiennent en échec la plus puissante… Enfin des preuves

Fuite en avant, version postmoderne

Fuite en avant, version postmoderne 4 janvier 2007 Patrick Cockburn, dans The Independent, nous assure que «Saddam must already be laughing in his grave». Il n’y a aucune raison pour ne pas le croire, d’autant qu’il suffit de tendre l’oreille. Dans tous les cas, voici la situation étrange que l’exécution inique de Saddam aurait, d’autre part, mise en lumière : le profond malaise entre les Américains et le gouvernement irakien. D’une part, il apparaît fondé de penser que les Américains ont été, dans cette affaire de l’exécution précipitée, quelque peu manuvrés. Dans son édito, The Independent nous explique d’une façon convaincante : «The truth [about… Fuite en avant, version postmoderne

Halutz est bien le LeMay de Tsahal

Nous avons aujourd’hui quelques précisions sur le chef d’état-major de Tsahal, dans un texte d’Alexander Cockburn mis en ligne sur le site CounterPunch. Il s’agit bien du LeMay israélien. Cockburn nous rapporte quelques détails sur l’homme et ses conceptions. Aucune surprise, juste une confirmation « Israel is doomed, said a friend of mine some months ago, returning to the U.S. after a trip to Israel. I asked him why, and my friend, who spent twenty years working at a high level in the Pentagon, answered, They’ve put in an Air Force man as chief of the General Staff. He was talking about Dan Halutz, appointed… Halutz est bien le LeMay de Tsahal

…Jusqu’à 500.000 morts?

Jusqu’à 500.000 morts? Nous avons été conduit à retrouver un récent article de Andrew Cockburn que nous avions ignoré au moment de sa publication. Andrew Cockburn est le fils de l’un des éditeurs de la Newsletter et du site CounterPunch. Son article a été publié sur ce site il y a un peu plus de deux mois, le 9 janvier 2006. L’article de Andrew Cockburn nous paraît d’un réel intérêt et nous le faisons figurer, vu sa date de publication, dans Notre Bibliothèque. Il propose une nouvelle comptabilité des victimes de la guerre en Irak. Ses conclusions sont particulièrement dramatiques puisque sa comptabilité peut conduire… …Jusqu’à 500.000 morts?

Comment les choses vont mieux en Irak (suite)

Effectivement, nous pourrions ouvrir une rubrique sous ce titre de Comment les choses vont mieux en Irak, puisque les témoignages s’accumulent après l’annonce, suggérée par le Pentagone et répercutée un peu partout qu’effectivement En Irak, tout va mieux, badaboum tsoin tsoin et que Le Potemkin’s show must go on. Cette fois, c’est Patrick Cockburn qui, de Mosoul, ce 17 avril dans The Independent, nous explique de quelle façon et par quels moyens l’on peut répandre l’idée que tout va mieux. La recette, qui n’est après tout que le produit d’une réalité depuis qu’il apparaît, depuis les élections du 30 janvier, que la consigne virtualiste générale… Comment les choses vont mieux en Irak (suite)

Comme le Nixon des derniers jours…

Comme le Nixon des derniers jours… 5 juin 2004 — Il semble qu’un article publié par le site Capitol Hill Blues soit considéré avec la plus grande attention à Washington, notamment dans les milieux dissidents. Le site CounterPunch publie une appréciation de son rédacteur en chef Alexander Cockburn, qui donne le plus grand crédit à l’information de Capitol Hill Blues. Il s’agit d’une description du comportement du président GW, montrant une attitude complètement irrationnelle, marquée par l’obsession, la paranoïa, etc, et, évidemment dans le cas de GW, avec la présence et le soutien complet de Dieu. (Un de nos lecteurs nous signale de son côté… Comme le Nixon des derniers jours…