Confession d’un trois-quarts de siècle
Confession d’un trois-quarts de siècle 18 mars 2019 (*) – Puisque des lecteurs, à commencer par notre lecteur-commentateur et ami >jcélite< : jamais je ne me suis cru l'heureux propriétaire d'un >talent< : ma seule affaire était de me sauver, – rien dans les mains, rien dans les poches, – par le travail et la foi. Du coup ma pure option ne m'élevait au-dessus de personne : sans équipement, sans outillage je me suis mis tout entier à l'œuvre pour me sauver tout entier. Si je range l'impossible Salut au magasin des accessoires, que reste-t-il ? Tout un homme, fait de tous les hommes et… Confession d’un trois-quarts de siècle