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Buy Chinese, ou le triomphe du virtualisme

Il n’y a pas de débat sur le protectionnisme puisque le protectionnisme n’existe pas, period. Le non-débat sur le protectionnisme-qui-n’existe-pas est un des phénomènes les plus intéressants de cette crise. La décision chinoise d’instaurer une sorte de clause Buy Chinese, à l’exemple de notre Grand Inspirateur général (Buy American), est la dernière nouvelle en date de cette étonnante aventure. Joe Quinlan, chef de la stratégie des marchés, de la gestion des investissements et de la richesse globale (nous traduisons comme cela nous vient sous la plume, sans comprendre) de la Bank of America, Quinlan, donc, trempe la sienne, de plume, dans une encre furieuse pour… Buy Chinese, ou le triomphe du virtualisme