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Edmond Burke et la fin de la chevalerie

Edmond Burke et la fin de la chevalerie On connait Burke sans le lire. Or il se révèle un poète, un nostalgique, premier d’une belle lignée qui va jusqu’à Tolkien, comme je l’ai montré dans mes livres. C’est qu’avant la salle de bains américaine et le recyclage des eaux usées, le monde était plus pur. Burke aura justifié toute notre anglophilie de jeunesse. Je préfère Fogg ou Frodon à Rocambole et John Steed ou Brett Sinclair à Maigret. C’est simplement plus classe. L’anglais d’alors avait encore des racines et des ailes. Depuis, comme dit Tolkien, nous sommes du beurre étalé sur trop de pain. Savourons… Edmond Burke et la fin de la chevalerie

Legs et mémoires du “chevalier du déclin”

Que nous laissera donc GW Bush? Vous verrez, cet homme insignifiant, qui a semblé ne plus exister durant ces derniers mois à l’ombre puissante de son successeur, sera pourtant l’objet de nombreux débats. Que nous a donc laissé GW? Quel est the Bush’s legacy? Steve Clemons a, nous semble-t-il, trouvé des mots excellents (le 15 janvier 2009 sur son site The Washington Note), dans tous les cas celui-ci, qui nous est suggéré par sa tournure de phrase (flamboyantly hastened America’s global decline): flamboyant; mot excellent puisqu’il est utilisé d’une façon extrêmement paradoxale, par rapport à son sens, pour qualifier une évolution qui ne devrait pourtant… Legs et mémoires du “chevalier du déclin”