L’insoutenable légèreté de la gifle
L’insoutenable légèreté de la gifle 11 juin 2021 – Un peu comme une sorte d’habitude ou de confidence à mes lecteurs, comme il m’arrive assez souvent d’hésiter entre plusieurs titres, d’en adopter un et de confier ensuite celui que je voulais mettre d’abord, – ce fut d’abord, avant de savoir ce que je mettrais dans ce texte en son début : >Les deux gifles du roijivarosisé< comme l'on dit de la tête complètement réduite de son ennemi réduit à presque-rien... Donc, la Merluche selon Plotin et moi plein d'indulgence, considérant qu'il n'est pas « mauvais en soi » (*) mais tristement victime d’une étrange ivresse… L’insoutenable légèreté de la gifle