Mort in absentia de la littérature
Mort in absentia de la littérature 25 Décembre 2015 – Interviewé en 1933 au moment de la sortie du Voyage au bout de la nuit, Céline avait grommelé sur le rythme caractéristique de cette voix si rapide comme on est pressé d’en finir, que, de toutes les façons >la littérature est mortepesanteurs qui nous écrasent< d'Houellebecq) de cette terrible époque qui enferme notre monde et interdit à rien d'autre d'exister, et il en sera ainsi jusqu'à ce qu'elle (cette époque, le Système) s'autodétruise. Ainsi la littérature (le roman) ne peut-elle plus exister pour la séquence métahistorique en cours, et n'existe plus.