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Stephen Hawking et la fin de l’espèce (la nôtre)

Le britannique Stephen Hawking, professeur, physicien théoricien et cosmologiste, est universellement connu, et aussi bien dans le champ de la science pure que dans celui de la communication, à cause de ses travaux et des conditions extraordinaires de son état de santé où il effectue ses travaux. L’article du Wikipédia qui lui est consacré indique sur ce dernier point que «Hawking souffre d'une dystrophie neuromusculaire qui est attribuée à une sclérose latérale amyotrophique (SLA) ; sa maladie a progressé au fil des ans et l'a laissé presque complètement paralysé». Nous parlons par conséquent d’un très grand savant qui présente des caractéristiques extraordinaires dans sa vie… Stephen Hawking et la fin de l’espèce (la nôtre)

L’attaque par le langage

L’attaque par le langage 9 avril 2008 — Nous revenons sur notre Bloc-Notes du 8 avril, concernant les jugements d’experts sur le site de National Interest, sur le sommet de l’OTAN à Bucarest. Nous avions essentiellement signalé Ted Galen Carpenter et Anatol Lieven pour la >crudité< de leur langage dans la dénonciation de la politique qu'a illustrée le sommet. Termes crus en effet, qui tendent à marteler l'image brutale de l'identification de cette politique à un état d'esprit enfantin (leurs titres: «The Babysitter’s Club» pour Carpenter et «Three Faces of Infantilism…» pour Lieven). Pour rappel, – pour justifier l’emploi du mot >crudité< et bien situer… L’attaque par le langage

L’OTAN entre baby-sitting et infantilisme

Parmi les très nombreuses réactions sur le sommet de Bucarest, nous signalons une série de quatre sur le site de The National Interest du 4 avril. Successivement, Nikolas K. Gvosdev, Ted Galen Carpenter, Anatol Lieven et Charles A. Kupchan. Nikolas K. Gvosdev est plutôt optimiste (malgré des réserves) sur les résultats du sommet, concluant ceci: «[A]ll in all, a good summit meetingand an important step in revitalizing transatlantic ties». Cet optimisme retenu est tout de même un bel effort pour continuer à prendre au sérieux la politique occidentale. Il nous semble malheureusement peu convaincant et destiné à se perdre dans les futures frasques otaniennes. Kupchan… L’OTAN entre baby-sitting et infantilisme