La quatrième place (13% des voix) de Ron Paul en Caroline du Sud paraîtrait une incontestable défaite pour lui, alors que certains sondages lui prédisaient une troisième place, avec jusqu’à 21%. Les sondages se sont avérés extrêmement volatiles, avec une très forte proportion d’indécis (40%), qui ont été surtout séduits par la démagogie de bulldozer de Gingrich, renforcé par le départ de Perry qui a appelé à voter pour lui (La plus forte déception à cet égard, pour Ron Paul, c’est que Tea Party, très implanté en Caroline du Sud, s’est rangé du côté de Gingrich à partir d’arguments de circonstance, de la part d’un… Drôle de primaires, drôle de campagne…