Aller au contenu

cabinet

Confluences Watergate-Benallagate

Confluences Watergate-Benallagate Il est intéressant de rechercher si l’affaire >Benallagate< avec ses suites (l'affaire DisinfoLab, etc.) répond à un schéma classique des crises politiques ou bien s’il s’agit d’un simple incident du aux conditions exceptionnelles d’une élection, au caractère et à l’ambition de l’élu, aux conditions générales d’un pays spécifique et évidemment en crise (comme toute structure institutionnelle dans la crise générale qu’on traverse aujourd’hui), etc. S’agit-il d’une crise qui a déjà son modèle ou s’agit-il d’une crise >accidentelle< encore difficile à comprendre ? En lisant l’analyse ci-dessous de Jacques Sapir, toujours incliné à chercher une approche institutionnelle, on peut pencher pour la première hypothèse… Confluences Watergate-Benallagate

Sur pied de guerre

Sur pied de guerre 11 avril 2018 – Tout le monde sent bien que nous traversons un moment délicat. Nous en avons traversé déjà beaucoup, de ces moments-là, mais chaque fois le >délicat< est >de plus en plus délicatsimulacre plus irrémédiable< ait été >montémoment délicat< que nous traversons avec la crise syrienne est encore plus >délicat< que le précédent. Il a pour effet de nous rapprocher encore plus de la crise finale, c'est-à-dire de rien moins que de risquer de nous sortir du simulacre habituel mais >de plus en plus délicat< pour nous précipiter dans une terrible, une terrifiante vérité-de-situation. Les Russes, qu’ils le veuillent… Sur pied de guerre

Bruits de cabinet

On sait qu’Obama veut aller très vite, on sait qu’il doit aller très vite. Il s’active donc, nous dit-on, dans tous les cas on s’active au sein de son équipe. L’un des premières mesures, et l’une des premières nouvelles de la future administration Obama, ce sera l’annonce de la formation du cabinet, avec les personnalités choisies. Beaucoup de bruits circulent déjà. La première nouvelle donnée comme sûre, annoncée notamment par Steve Clemons sur son site The Washington Note le 5 novembre, est l’acceptation par le sénateur Rahm Emmanuel du poste de chef du cabinet personnel du président. Poste important, on s’en doute, et nouvelle plutôt… Bruits de cabinet