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Percer l’abcès financier américain

Percer l’abcès financier américain Les gens qui ne connaissent rien à la vie réelle ont tendance à parler d’une bulle financière qui menace d’éclater, qui est sur le point d’éclater ou qui (pour les commentateurs financiers apocalyptiques) a déjà éclaté, alors prenez votre sac plein de Corned Beef et de cartouches de fusil et partez vous réfugier dans les collines. Mais ce n’est qu’une jolie petite bulle de savon, remplie d’air chaud et humide et d’arcs-en-ciel, qui s’est doucement envolée du bain moussant d’une petite fille rieuse ; n’est-ce pas ? Bien sûr, il s’agit d’une bulle financière, pas d’une bulle de savon, et cela… Percer l’abcès financier américain

Un si beau plan

Un si beau plan Sur le papier, c’était un plan parfait. Faites asseoir Joe Biden au bureau ovale, faites imprimer par Janet Yellen beaucoup plus de milliers de milliards de dollars, gonflez la >Bulle de Tout< jusqu'à des proportions astronomiques et ensuite… faites-la éclater, bien sûr, mais d'une manière délicatement chorégraphiée pour que ceux qui sont bien connectés et au courant se dirigent d'abord vers les sorties et fassent un massacre pendant que tous les autres finissent par dormir dans des boîtes en carton sur des bandes médianes sous des viaducs d'autoroute. Que pensiez-vous qu'ils allaient faire, rendre l'Amérique Grande à Nouveau ? Cette petite… Un si beau plan

Un si beau plan

Un si beau plan Sur le papier, c’était un plan parfait. Faites asseoir Joe Biden au bureau ovale, faites imprimer par Janet Yellen beaucoup plus de milliers de milliards de dollars, gonflez la >Bulle de Tout< jusqu'à des proportions astronomiques et ensuite… faites-la éclater, bien sûr, mais d'une manière délicatement chorégraphiée pour que ceux qui sont bien connectés et au courant se dirigent d'abord vers les sorties et fassent un massacre pendant que tous les autres finissent par dormir dans des boîtes en carton sur des bandes médianes sous des viaducs d'autoroute. Que pensiez-vous qu'ils allaient faire, rendre l'Amérique Grande à Nouveau ? Cette petite… Un si beau plan

Facebook, le truc bidon à plusieurs milliards

Facebook, le truc bidon à plusieurs milliards Deux creux et pas de remontée prévisible Pour la deuxième fois cette année, Facebook a connu une dégringolade en bourse. Un employé de la firme Cambridge Analytica a dénoncé la manière qu’elle a eu d’aspirer les données de 82 millions de comptes du réseau social afin de les exploiter et d’influencer le choix électoral de leurs utilisateurs. Cela se serait produit à deux reprises, lors des élections de 2016 pour la présidence des Usa et lors du referendum du Brexit. En deux jours, au mois de mars, la valeur du titrea perdu 11%, en deux semaines la chute… Facebook, le truc bidon à plusieurs milliards

Le prisonnier de la Maison-Blanche

Le prisonnier de la Maison-Blanche Les mœurs en cours actuellement à >D.C.-la-folle< doivent nous permettre d'aborder sans frayeur ni ébahissement, sans ricanements de scepticisme ou signes d'une raison défaillante, cette question en apparence déraisonnable et terriblement >complotiste< : Trump est-il prisonnier à la Maison-Blanche ? Dans tous les cas, cette hypothèse a sa place dans l’extraordinaire charade qui se déroule sous nos yeux, sur le fait de savoir ce qu’est devenu le pouvoir aujourd’hui à Washington, qui l’exerce, dans quel sens et pour quels buts, s’il existe encore réellement, etc. Il semble être acquis que des personnalités proches de Trump durant sa campagne et plus… Le prisonnier de la Maison-Blanche

La globalisation “qui fait pschitt”

La globalisation >qui fait pschittbulle< (>bubblegroup thinks.bulle< n'est pas seulement utile à cette marque de soda >qui fait pschitt< ; bien plus sérieusement, l'image qu'il véhicule venue en bonne partie de certains récits de science-fiction qui parlent aussi de >dômesbulle< peut aussi s'employer pour un individu, – >il est dans sa bullebulle financièrebulle de l’internetbulle de l’immobilierbulle de la dettebulle psychologique< est, par contre, notablement nouveau, même si l'on en comprend bien le sens, l'usage et le contenu. Comme toujours, l'acquisition d'un langage nouveau sous forme de concept, même s'il désigne une situation connue, apporte un enrichissement supplémentaire et alimente la réflexion, souvent de manière… La globalisation “qui fait pschitt”

2015-2025 : StratforWorld à la sauce Disney

2015-2025 : StratforWorld à la sauce Disney On sait que George Friedman, patron du groupe de renseignement privé Stratfor a fait beaucoup parler de lui lors de son passage à Moscou, en décembre 2014. (Voir successivement le 22 décembre 2014, le 21 janvier 2015, le 22 janvier 2015 pour son interview à Kommersant et le même 22 janvier 2015 en commentaire de cette interview.) Les Russes avaient plutôt gardé un bon souvenir de ce passage, les déclarations de Friedman, quoique toutes empreintes d’un réalisme cynique concernant la politique US, permettant tout de même de rétablir la vérité de situation du putsch de février 2014 à… 2015-2025 : StratforWorld à la sauce Disney

Ce Congrès-là est-il le commencement de la fin ?

Ce Congrès-là est-il le commencement de la fin ? 10 novembre 2014 Certes, nous proscrivons absolument toute prospective dans une époque métahistorique où des forces incontrôlées font sentir tout leur poids et toutes leurs dynamiques, dans un sens qui leur est propre, tout cela hors de toute capacité humaine de les identifier, de les mesurer et, par conséquent, d’en apprécier les conséquences. Nous pouvons par contre observer et mesurer des circonstances nouvelles qui installent ce que nous appelons des vérités de situation, c’est-à-dire des situations qui, en un instant où elles apparaissent et pour l’instant où elles sont signifiantes, nous disent une vérité fondamentale. La… Ce Congrès-là est-il le commencement de la fin ?

Gaz de schiste : à la “bulle” nul n’échappera… (II)

Gaz de schiste : à la bulle nul n’échappera (II) On l’a dit (voir le 11 janvier 2013), il n’est guère question de « révolution » du shale gas (SG) aux Etats-Unis. L’engouement auquel on assiste n’est qu’une « bulle » spéculative dont l’explosion est inévitable à court terme. Osons ici un pronostic : le monde devrait découvrir la vérité peu reluisante du SG américain sous dix-huit à vingt-quatre mois peut-être même avant ! Les producteurs américains sont les premiers responsables de cette situation et la thèse est que les « EURs » (Estimated Ultimate Recovery, c’est-à-dire les rendements par puits) sont l’arme de destruction… Gaz de schiste : à la “bulle” nul n’échappera… (II)

Gaz de schiste : à la “bulle” nul n’échappera…

Gaz de schiste : à la bulle nul n’échappera… Le 16 novembre dernier, le gaz de schiste (SG) a fait son entrée sur dedefensa. Alors qu’il semble acquis, même pour un contributeur de la qualité de J-P. Basquiast, que rien n’empêchera l’exploitation du SG en Europe, il nous semble urgent (en tant qu’expert de la question) de rétablir quelques vérités. Notre propos concerne ici le SG américain, modèle à partir duquel se développent aujourd’hui débats, thèses et autres scénarios en Europe. Ainsi, à en croire la pensée maintream, le SG serait une réussite écrasante participant à la réindustrialisation des Etats-Unis et devant impacter les échanges… Gaz de schiste : à la “bulle” nul n’échappera…

De 10.000 à 10%, ou Wall Street dans sa bulle

Il est vrai que c’est une fameuse idée on n’ose dire une riche idée, tout de même de mettre en vis-à-vis le chiffre de 10.000 que vient de dépasser le Dow Jones et le chiffre officiel de 10% qui est proche d’être le pourcentage du chômage (en réalité, autour de 20%) tout cela, aux USA qui ne s’en serait douté? Ce sont les deux réalités que met en évidence un compte-rendu du site WSWS.org, ce 16 octobre 2009. «Wall Street’s breaking the Dow Jones’s 10,000 mark Wednesday was hailed as a further sign of the recession’s end, even as foreclosures rose to an all-time high… De 10.000 à 10%, ou Wall Street dans sa bulle

Un dde.crisis sur la crise (évidemment) du JSF

Le numéro du 25 septembre 2009 de dde.crisis, disponible depuis une demi-heure, en pdf pour les abonnés et également en vente au numéro, porte essentiellement sur la crise du programme JSF/F-35. Après une analyse de l’épisode de la visite surprise de Robert Gates à Fort-Worth, le 31 août 2009, la crise du JSF est surtout considérée du point de vue du virtualisme. La thèse générale est que le JSF s’est développée dans une bulle, comme la finance internationale, comme l’immobilier des Américains moyens, comme l’investissement commercial d’Internet, comme la politique d’agression de GW Bush, comme l’installation du système BMDE en Europe qui vient de faire… Un dde.crisis sur la crise (évidemment) du JSF

Première surprise (?) : les Anglais s’en foutent

Après la fin de semaine qu’a connue le Royaume-Uni, sous les attaques de ce qu’on désignait comme le début d’une vague terroriste de type apocalyptique, certains constats et certaines appréciations permettent de regagner la réalité. Nous y constatons qu’à défaut de vague terroriste, il y a eu une vague virtualiste avec une forte composante médiatique. Mais l’effet est bref. L’un des premiers constats est que la population a bien de la peine à partager les alarmes de ses dirigeants et du système dont ils dépendent. A cette lumière, les appels des ministres et Premiers ministres divers à la mobilisation et à la vigilance, suivis des… Première surprise (?) : les Anglais s’en foutent

Soyons sérieux… GW nous explique ce qu’il faut comprendre de l’opinion des citoyens

GW Bush continue à montrer un dynamisme roboratif lorsqu’il s’agit de nous expliquer la réalité de la réalité. Il a son interprétation des résultats des élections (de novembre 2006), de la signification des sondages, de ce que veulent dire précisément les citoyens américains lorsqu’ils disent quelque chose sur la guerre. Pour lui, les Américains sont pour la guerre, ils le soutiennent, lui GW, ils en redemandent, etc. Associated Press nous explique la chose, dans une analyse publiée hier, écrite sur un ton assez mordant montrant que même les journalistes commencent à en avoir un peu marre. Goûtez le ton du premier paragraphe, que nous traduisons… Soyons sérieux… GW nous explique ce qu’il faut comprendre de l’opinion des citoyens

GW, de la réalité perdue au virtualisme

Interrogé lors de sa conférence de presse du 14 février par un journaliste de ABC sur la question de savoir s’il y avait ou non la guerre civile en Irak, GW a enchaîné avec ce commentaire (rapporté par RAW Story) pour expliquer pourquoi il ne pensait pas qu’il y avait vraiment la guerre civile en Irak: «It’s hard for me living in this beautiful White House to give you an assessment, a first hand assessment. I haven’t been there. You have, I haven’t. But I do talk to people who are and people whose judgment I trust and they would not qualify it as that.… GW, de la réalité perdue au virtualisme

Les consignes à la Commission européenne

Une source à la Commission européenne nous expose le processus extraordinaire de dégradation du climat de travail au sein de la Commission. La tendance est pour l’abandon systématique de toute vision politique de la moindre ampleur et l’ignorance systématique des analyses extérieures. L’impulsion est donnée par une équipe de direction et un encadrement qui sont de plus en plus obnubilés par des impératifs opérationnels et économiques, accompagnés du catéchisme moralisant qui va avec lorsqu’il s’agit des discours de Barroso. «Le premier point dans cette évolution, nous dit cette source, est la consigne qui se répercute par les méthodes de travail et les impulsions données de… Les consignes à la Commission européenne

GW n’est pas seul dans sa bulle : des centaines de millions d’Américains sont avec lui

Anatol Lieven est un bel et bon auteur, spécialiste de l’étude du nationalisme américaniste. Un lecteur, Hashem Sherif (nous le remercions par ailleurs pour son geste de solidarité avec le site), nous signale un article de Lieven dans le Financial Times, dont une copie est postée par lui dans le Forum aujourd’hui. L’article est daté du 6 septembre sur le site du FT. Lieven analyse les effets du nationalisme américaniste sur la situation actuelle. Son analyse est naturellement assez pessimiste, avec des perspectives éventuelles qui le sont encore plus. Nous retenons un passage de cet article parce qu’il permet de comprendre un peu mieux qu’il… GW n’est pas seul dans sa bulle : des centaines de millions d’Américains sont avec lui

De 9/10 à la “bulle” du Pentagone

Ne quittons pas cet article du 11 juillet du New York Times mentionné dans notre précédent Bloc-Notes ; indiquons ce qui, dans cet article, nous paraît le plus important au regard du reste qui est un cortège de platitudes reproduites de façon récurrente à propos de la crise sans fin du Pentagone. Deux points, à notre sens, méritent d’être mis en exergue : • Le premier est la mention, comme entame de l’article, du discours de Rumsfeld le 10 septembre 2001. C’est la deuxième fois que nous en voyons la mention cette année après le silence crépusculaire des quatre années entre 2001 et 2006. La… De 9/10 à la “bulle” du Pentagone

«Now I’m confused»

«Now I'm confused» 23 décembre 2002 — Nous nous référons à un excellent article de Brendon O'Neill, sur le site Spiked, publié le 20 décembre. Nous nous référons aussi à l'article de Matthew Engel, publié dans the Guardian du 17 décembre, cité par O'Neill, par qui nous l'avons découvert : « Ready for battle ». Enfin, nous nous référons à notre récent F&C, citant lui-même un texte de Timothy Garton Ash que O'Neill et Engel mentionnent, F&C que nous avons publié le 13 décembre. Nous ne voulons rien dire de décisif, mais faire progresser cette sensation de plus en plus forte que l'actuelle crise irajienne… «Now I’m confused»

D.C., virtual

D.C., virtual 13 décembre 2002 — La scène se passe à Washington, D.C., d'où écrit Timothy Garton Ash, du Guardian, et il publie son article le 12 décembre. De Washington D.C., il nous dit : « Washington at war — In this city, there is no doubt: war is coming, and the Middle East will be remade. » Cet article, dont l'honorabilité et la qualité sont au-dessus de tout soupçon, est un bon exemple, une excellente illustration du phénomène avons désormais coutume de nommer >virtualismel'Amérique moins D.C.Washington is at warWashington< as diplomatic shorthand for the US — as in >London insists< or >Paris objectsnot really<… D.C., virtual