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Tony Blair pense qu’il a des occupations à Downing Street pour au moins jusqu’en 2008

Tony Blair a beaucoup à faire et, par conséquent, aucune raison de partir avant au moins 2008. Cela ne fait pas l’affaire de Gordon Brown, qui espère devenir Premier ministre à la Noël. L’impopularité actuelle de Blair? Le Premier ministre s’en arrange : « While he acknowledged his present unpopularity with the public, admitting that he could not even please some of the people some of the time, he said he had so much still to do as Prime Minister. In a series of hastily arranged television interviews, he tried to reassert his authority after renewed infighting between his supporters and those of the Chancellor.… Tony Blair pense qu’il a des occupations à Downing Street pour au moins jusqu’en 2008

Le calvaire de l’“anglosphère”, section UK

Le calvaire de l’anglosphère, section UK 3 avril 2006 L’Irak, l’Irak Ce mot devient une malédiction pour les dirigeants anglo-saxons. Une fois les séquelles de l’Irak ont-elles frappé à Londres qu’elles frappent à Washington à nouveau, puis à Londres à nouveau. Aujourd’hui, nous sommes donc à Londres, et les Anglais en ont assez. Ils le disent par un sondage. Pour la première fois, une majorité substantielle de Britanniques veut un départ des troupes britanniques d’Irak, immédiatement ou dans un an au plus tard. « For the first time, a substantial majority wants troops to be withdrawn, either immediately or within 12 months, regardless of conditions… Le calvaire de l’“anglosphère”, section UK

GW & Katrina : mensonge as usual

Quatre jours après que Katrina ait frappé La Nouvelle Orléans, GW déclarait: « I don’t think anybody anticipated the breach of the levees » Des vidéos de diverses réunions gouvernementales obtenues par AP disent exactement le contraire. L’une d’entre elles, du 29 août (jour où l’ouragan touche La Nouvelle Orléans), montre GW s’abstenant de toute question à propos des divers avertissements qui lui ont été communiqués, disant ces seuls mots : « We are fully prepared. » Sur les vidéos, on peut voir des conférences et divers directeurs d’agence ou élus locaux avertissant des conséquences éventuellement tragiques de l’ouragan sur le point de frapper La… GW & Katrina : mensonge as usual

La crise politique britannique et le “Faustian bargain” du JSF

La crise politique britannique et le Faustian bargain du JSF 12 février 2006 Le Royaume-Uni est entré dans une période d’instabilité gouvernementale à la suite de la détérioration continuelle de la position de Tony Blair suite à la guerre d’Irak. Le parti travailliste a connu jeudi une défaite retentissante (contre un libéral) dans une élection partielle à Dunfermline, dans la circonscription de Brown, où le succès travailliste ne faisait guère de doute. La position du gouvernement au Parlement, malgré sa majorité parlementaire, est très fragile avec une minorité significative de députés travaillistes votant désormais épisodiquement aux côtés des conservateurs et des libéraux (Blair a connu… La crise politique britannique et le “Faustian bargain” du JSF

Finement observé, Brownie

On se rappelle, au coeur du drame de Katrina, l’interjection enthousiaste de GW pour le directeur de la FEMA (l’organisme fédéral chargé des catastrophes naturelles) : « Brownie, you do a heck of job ! » Depuis, de l’eau a passé sur les digues brisées de la Nouvelle Orléans. Brownie, ou plus prosaïquement Brown, démissionnaire aussitôt après ce satisfecit sonore de GW, étrange réaction, a été roulé dans la boue abondante de la tragédie de La Nouvelle Orléans. Des signes abondants de son incompétence supposée ont été largement diffusés et mis en évidence, y compris par nous, pauvre de nous. Vendredi, Brownie déposait devant le… Finement observé, Brownie

Le Royaume-Uni est devenu “a travesty of democracy”

Le Royaume-Uni est devenu a travesty of democracy 8 mai 2005 La vertu du gouvernement et du système britannique est la stabilité. Le problème est qu’aujourd’hui, la stabilité devient une caricature d’elle-même avec l’affrontement Blair-Brown à l’intérieur du parti vainqueur. D’autre part, cette caricature est en train d’avoir raison de la légitimité du système. Un court et excellent article du Financial Times (FT) mesure l’étendue du problème, qui se lit dans les chiffres, au dernier décompte d’hier soir. • Les travaillistes ont 35,2% des voix et 356 sièges (61% des sièges pour 32,2% des voix). • Les conservateurs ont 197 sièges pour 32,3% (34% des… Le Royaume-Uni est devenu “a travesty of democracy”

De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami

De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami On sait que certains pays touchés par le tsunami font partie de ces pays asiatiques émergents qui, dans les années 1990, connurent de profonds remous économiques. C’est particulièrement le cas pour la Thaïlande et l’Indonésie, deux pays qui furent au départ de l’immense crise économique qui ravagea le monde émergent, en 1997-98, avec les crises économiques notamment en Chine, en Russie, au Brésil. Cette crise, c’est fondamentalement la crise de la globalisation (pas crise de la mondialisation). C’est la crise de la dérégulation, conduisant à l’ouverture des marchés hors de toute régulation. Les bouleversements ainsi… De la globalisation à-la-Clinton (et selon Wall Street) au tsunami

Tony, all alone avec sa folie irakienne et la crise du système

Tony, all alone avec sa folie irakienne et la crise du système 21 septembre 2004 L’Histoire s’interrogera longuement : quelle mouche a donc piqué le sémillant Premier ministre Tony Blair, en 2001-2002 ? John Kampfner, du Statesman, écrivant dimanche dans The Observer, répond ceci : « Blame No 10’s hubris and genial naivety », ajoutant que le Premier a ignoré tous les avis, tous les avertissements, toutes les mises en garde. L’explication psychologique doit en effet être tenue comme essentielle pour comprendre le drame de Tony Blair. « Blair disregarded these warnings because they did not fit his justification for invading Iraq the hubris in… Tony, all alone avec sa folie irakienne et la crise du système

La solution pour l’Europe est évidemment britannique

La solution pour l’Europe est évidemment britannique 11 juin 2003 Le Chancelier de l’Échiquier Gordon Brown vient d’annoncer que le Royaume-Uni n’était pas encore prêt à entrer dans l’euro, mais sans écarter la possibilité que l’opportunité s’en présente peut-être l’année prochaine. C’est un non peut-être ou un oui mais pas encore, selon le sentiment qu’on en a. (Les fonctionnaires du Trésor ont déterminé 5 critères d’entrée dans l’euro, que le Royaume-Uni doit satisfaire pour envisager l’entrée dans l’euro d’une façon qui rencontre les intérêts britanniques. Un seul de ces 5 critères est satisfait. Bien entendu ces conditions constituent l’aspect technique de l’entrée dans l’euro, il… La solution pour l’Europe est évidemment britannique