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Cette “guerre” « incompréhensible » : $4.790 milliards

Cette >guerre< « incompréhensible » : $4.790 milliards Les départements statistiques de l’Institut Watson de l’université Brown, aux USA, ont terminé une étude du coût pour les USA de la >guerre contre la terreurdépenses indirectesguerre contre la terreur< alimente bien entendu encore plus son caractère totalement >incompréhensibleinsaisissablesincompréhensibleguerre< est le plus élevé de l'histoire des USA, et notamment plus élevé que la guerre la plus chère de l'histoire pour les USA, la Deuxième Guerre mondiale. (Le dernier calcul officiel et actualisé en date du coût de la Deuxième Guerre Mondiale est de $4.104 milliards en dollars constants, à partir des $296 milliards officiellement dépensés en dollars… Cette “guerre” « incompréhensible » : $4.790 milliards

Notes sur des complots et du désordre

Notes sur des complots et du désordre 29 mai 2013 – Ce que nous voulons présenter est la situation d’un courant qui n’est pas nouveau mais qui ne cesse d’enfler malgré les tentatives qui sont faites pour l’ignorer, le condamner, le réduire, le détourner, le ridiculiser. On pourrait même parler d’un tournant dans l’évolution de l’écho et de l’effet déstabilisant de ce courant. Notre but n’est certainement pas ici de déterminer la véracité du contenu de ce courant mais d’observer les effets qu’il entraîne. Initialement, le courant dont nous parlons est celui du >complotisme< (ou encore >conspirationnismepresse alternativecomplotisme< (sérieux, pas sérieux ? Utile, inutile ?… Notes sur des complots et du désordre

Intronisation du facteur falseflag

Intronisation du facteur falseflag On connaît depuis longtemps, quasiment depuis l’attaque de septembre 2001, le tour polémique aigu qu’a pris le concept du complotisme (ou théorie des complots), dont l’expression falseflag est une des expressions sémantiques de représentation récemment mise en vogue et très utilisée aujourd’hui. Il s’agit d’abord d’une question centrale de communication accordée au règles de fer du conformisme-Système, avec le constat que l’idée même d’une telle hypothèse de montage a été, dans son principe, dès l’origine, non seulement rejetée mais diabolisée à l’égal des pires diabolisations imposées par le Système. Cela correspondait bien entendu à la mythologisation de l’événement 9/11 que rien… Intronisation du facteur falseflag

Psychologie en crise ou psychologie crisique ?

Psychologie en crise ou psychologie crisique ? 3 mai 2013 Le sentiment général d’un événement historique se construisant autant à partir de faits prétendument objectifs (enquêtes, études, etc.) qu’à partir d’appréciations intuitives est très difficile à fixer dans le temps courant, en temps réel, alors qu’il se produit au moment même où on en prendrait acte. Mais les conditions générales que nous connaissons sont si exceptionnelles que ce cas rarissime et qu’on croirait quasiment impossible est peut-être en train de se produire, une fois de plus, dirions-nous, depuis le 11 septembre 2001, puisqu’à notre sens le cas s’est effectivement produit déjà. (Déjà, dans Le chroniques… Psychologie en crise ou psychologie crisique ?

De dedefensa.org à la crise, – et retour…

De dedefensa.org à la crise, et retour… Jetez un il sur le tourbillon de Boston transformé en American Mess, et l’autre sur la querelle fondatrice de leur post-postmodernité, le printemps du mariage gay (et votre troisième il, pour le cas exceptionnel d’un regard à trois dimensions, sur le mythique chimique syrien ou le PIC américaniste, version stalinienne postmoderne). Comment n’être pas édifié ? Jamais la crise n’a aussi bien fonctionné, aussi droitement, aussi résolument … Ces événements ont évidemment leur valeur propre qui peut être diablement profonde mais ils sont décalés et suscités comme des provocations ou des déclamations incantatoires dans un but incertain, invertis… De dedefensa.org à la crise, – et retour…

Symbolique du triomphe du “complotisme”

Symbolique du triomphe du >complotismeofficiel< de la >version officielle< de l'attaque, et qui peuvent indiquer que, finalement, et peut-être presque inconsciemment, le doute à l'encontre de cette version subsiste, et, par conséquent, par sa durée elle-même, ne cesse d'acquérir de la légitimité ... «From YouTube to obscure blogs and even the Guardian‘s own comment section, the internet has had access to a huge amount of footage from last week's Boston Marathon explosions. Sure as day follows night, the conspiracy theorists have used this multitude of information to concoct multiple alternative scenarios, considerably more colourful than the >officiallibéral< l'autorisant à certains écarts intéressants par rapport aux… Symbolique du triomphe du “complotisme”

De la crise à dedefensa.org, – et retour…

De la crise à dedefensa.org, et retour… Jetez un il sur le tourbillon de Boston transformé en American Mess, et l’autre sur la querelle fondatrice de leur post-postmodernité, le printemps du mariage gay : comment n’être pas édifié ? Jamais la crise n’a aussi bien fonctionné, aussi droitement, aussi résolument … Ces événements ont évidemment leur valeur propre qui peut être diablement profonde mais ils sont décalés et suscités comme des provocations ou des déclamations incantatoires dans un but incertain, invertis et manipulés comme des manuvres d’évitement d’on ne sait quoi, devenus ainsi nécessairement dérisoires dans le cas qu’on en fait par rapport aux formidables… De la crise à dedefensa.org, – et retour…

La Russie et l’énigme américaniste, de la Syrie à Boston

La Russie et l’énigme américaniste, de la Syrie à Boston A force de témoigner et de témoigner encore et encore sur ce qu’ils font, devant les commissions sans nombre du Congrès (Chambre et Sénat), on finit par se demander si les ministres du gouvernement US font réellement quelque chose. Ou bien, autre hypothèse, ils font n’importe quoi et le témoignage est aisé. Cette remarque un peu parodique n’est pourtant nullement déplacée pour tenter de définir la politique extérieure US, comme si cette politique n’était que parodie de politique… Cette sorte d’interrogation doit traverser souvent les esprits russes, et elle concerne le ministère essentiel de la… La Russie et l’énigme américaniste, de la Syrie à Boston

Notes sur un tourbillon, made in USA

Notes sur un tourbillon, made in USA 19 avril 2013 D’une certaine façon, il y a eu une non moins certaine timidité à lier entre eux trois événements survenus aux USA entre le 15 et le 17 avril. Nous parlerions même, dans le chef de certaines démarches, d’une sorte d’aveuglement autant résolue qu’involontaire. Il s’agit d’un réflexe que nous caractérisons techniquement de réductionniste (réduire chaque événement à lui seul) et que nous qualifions politiquement de négationniste. Il s’agit de nier que ces événements, explorés dans leurs évidences de cause à effet éclairés et activés par la puissance du système de la communication, et ainsi rassemblés… Notes sur un tourbillon, made in USA

L’arme d’hystérisation massive

L’arme d’hystérisation massive Erik Rush est un commentateur, africain-américain, ultra-conservateur, collaborateur du site WorldNetDaily représentant la frange chrétienne-évangéliste maximaliste de la droite US, dont la cible principale est l’islamisme, c’est-à-dire, pour faire court dans leurs pensées, les musulmans un général. C’est ce qu’a fait Rush, faire court, sur son tweet, objet de communication où il est effectivement recommandé de faire court. A propos du cas Bostonmarathon (l’attentat du marathon de Boston, en langage tweet), Rush écrit d’abord : «Everybody do the National Security Ankle Grab! Let’s bring more Saudis in without screening them! C’mon!» Interrogé sur le fond de sa pensée, Rush répond effectivement court,… L’arme d’hystérisation massive

Un attentat en quête de coupables…

Un attentat en quête de coupables Con Coughlin, chroniqueur émérite du Daily Telegraph et spécialiste du quotidien londonien pour les affaires américanistes, nous donnait, ce 16 avril 2013, une chronique mélancolique sur l’attentat du marathon de Boston. Quelle différence avec 9/11 où l’affaire ne fit pas un pli Cette fois, ce qui fut remarquable dans les heures qui ont suivi l’affreuse chose, (et même 24 heures après, et même 36 heures après), c’est le désarroi devant la multiplicité des pistes et des coupables possibles. Cela, écrit tristement Coughlin, c’est l’Amérique du président Obama, car cette diversité des possibles coupables nous montre quel pays divisé l’Amérique… Un attentat en quête de coupables…

GW, l’homme qui n’abandonne jamais

Quand il tient quelque chose, il ne lâche jamais. GW Bush ne cessera pas de nous étonner. Sa conception de la loi, itou. Sa dernière performance, datant du vendredi dernier, passée relativement inaperçue, qui représente pourtant un acte aussi grave que les écoutes de communication de la NSA (pour lesquelles on parle de mise en accusation) : une restriction décisive au moment de la signature d’une loi très controversée. Il s’agit de l’amendement McCain sur la torture (amendement à la loi budgétaire 2007 du Pentagone). Lancé en octobre 2005 par le sénateur républicain, immédiatement bloqué par la Maison-Blanche, l’amendement a finalement été accepté par GW… GW, l’homme qui n’abandonne jamais

Pour saluer le discours sur l’état de l’Union du 43ème président des Etats-Unis d’Amérique

Pour saluer le discours sur l’état de l’Union du 43ème président des Etats-Unis d’Amérique 2 février 2005 Les élections (on parle de l’Irak) ont eu lieu et tant de choses sont dites à leur propos, choses définitives, choses habiles et choses incongrues. Depuis trois jours, nous parcourons la presse, nous écoutons des avis, parfois nous donnons le nôtre. Il nous semble que nul, jusqu’ici, n’a mieux saisi l’essence de cet événement, c’est-à-dire le replaçant dans son contexte et lui donnant ses vraies dimensions humaines et politiques (dans le sens le plus large et le plus digne de ces deux mots, qui n’est pas celui dont… Pour saluer le discours sur l’état de l’Union du 43ème président des Etats-Unis d’Amérique

Boston en état de siège : échos d’un autre monde

Boston en état de siège : échos d’un autre monde 26 juillet 2004 Boston est en état de siège avant la Convention démocrate pour la désignation, déjà acquise, du candidat à l’élection présidentielle. Cette convention sera hyper-patriotique, placée sous le signe de la guerre contre la Terreur, selon l’argument que cette guerre serait bien mieux menée avec John Kerry, qui a fait la guerre (photos de Kerry en soldat au Viet-nâm partout), si l’Amérique était menée par le président John Kerry. Le système est prisonnier de lui-même. Attaqué avec une violence extrême le 11 septembre 2001 après deux tiers de siècle (depuis 1933) de politique… Boston en état de siège : échos d’un autre monde