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L’UE et la bonne réputation : après la CIA, Hitler

L’UE et la bonne réputation : après la CIA, Hitler Si on ne prête qu’aux riches, comme c’est bien sûr, l’UE est fabuleusement riche. Après les résurgences des révélations sur l’implication de la CIA dans le projet européen à son origine, voilà l’ancien maire de Londres et, espérons-le, futur Premier ministre britannique Boris Johnson, qui compare indirectement l’UE à Hitler (et à Napoléon, soyons juste). Horreur ! proclame la bonne réputation, ce qui montre que Johnson a touché un nerf à vif. On trouverait pourtant certains Grecs qui furent, par leur parentèle, proches de la résistance antinazie particulièrement glorieuse dans leur pays, qui ne désavoueraient… L’UE et la bonne réputation : après la CIA, Hitler

Solidarité transatlantique, antiSystème & métahistorique

Solidarité transatlantique, antiSystème & métahistorique … Cet étonnant paragraphe suffira à situer le caractère peu ordinaire de l'article (*) que nous présentons : « 8 mai 2017 – Le président américain Donald J. Trump et le Premier ministre britannique Boris Johnson ont envoyé aujourd’hui leurs félicitations à Marine Le Pen, du Front National français, pour son élection à la présidence de la République. Le Pen a battu de peu Alain Juppé, des Républicains, après que Juppé ait échoué à rassembler un soutien suffisant à la suite d’une primaire contre Nicolas Sarkozy qui a fracturé son parti. Le destin de Juppé ressemble à celui d’Hillary Clinton… Solidarité transatlantique, antiSystème & métahistorique

La manif pour saluer Nemtsov : “Nostradamus” ou “Abracadabra” ?

La manif pour saluer Nemtsov : Nostradamus ou Abracadabra ? Dans les heures qui ont suivi l’assassinat du principal opposant russe (sic-narrative presse-Système) Boris Nemtsov, la marche anti-Poutine dite-Printemps, annoncé comme un Maidan moscovite s’est transformée en marche à la mémoire de Nemtsov, soi-disant principal opposant de Poutine. La décision fut prise on ne sait par qui mais elle fut prise. Brillante manuvre de communication improvisée, ou préparée, c’est selon, mais manuvre risquée comme on l’a découvert assez vite. Deux points intéressants, notamment, ont été relevés par les réseaux sociaux et les sites très actifs en Russie. Ils méritent d’être détaillés, tels qu’ils ont été… La manif pour saluer Nemtsov : “Nostradamus” ou “Abracadabra” ?

La disette, stade ultime de la crise-Système

La disette, stade ultime de la crise-Système 26 novembre 2012 L’évolution de la crise générale et d’effondrement du Système doit être prise dans sa globalité, c’est-à-dire touchant tous les domaines, même les plus primitifs, qu’on jugerait à première vue les plus inattendus. Il est absurde, sinon intellectuellement pervers, ou bien fait dans une intention tactique faussaire évidente, de réduire cette crise à ses composants divers en les étudiant séparément, avec le résultat d’occulter complètement la signification fondamentale de la crise. Il est essentiel d’envisager les phénomènes qui nous importent dans leur appartenance à la globalité et dans leur intégration dans la situation générale. Il importe… La disette, stade ultime de la crise-Système

S’il n’en reste qu’un, ce sera évidemment Tony Blair

Dans The Guardian du 3 octobre, Peter Preston signale, en prenant comme point de départ un très récent article du député conservateur britannique Boris Johnson, que deux ruptures fondamentales sont en train de s’accomplir avec l’administration Bush et la politique américaniste. Il s’agit d’une rupture des conservateurs britanniques d’une part, de l’establishment (et le gouvernement) canadien d’autre part (ce dernier cas étant marqué par la rupture avec la ligne américaniste du magnat de la presse canadien Conrad Black). Ces ruptures sont importantes dans la mesure où elles mettent très gravement en question ce qu’il reste de l’alliance anglo-saxonne transatlantique et de l’unité même du monde… S’il n’en reste qu’un, ce sera évidemment Tony Blair