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Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille 19 septembre 2020 – L’on sait que l’un des aspects les plus remarquables et les plus insupportables c’est selon, de l’ensemble capitalisme-globalisation, c’est la mercantilisation (ou marchandisation) du monde. Cette évolution, même si elle démarre à la fin du XVIIIème siècle, est une constante de la modernité puis de la tentative (pour certains) de ‘normalisation’ de la modernité en postmodernité. La critique de ce processus (ce qui le rend insupportable à certains) a bien été résumé notamment par Michel Crozier dans son Stendhal et l’Amérique, décrivant la rupture de Stendhal avec l’idée de l’Amérique en 1825, et la façon… Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille

Notes sur la mercantilisation en vrille 19 septembre 2020 – L’on sait que l’un des aspects les plus remarquables et les plus insupportables c’est selon, de l’ensemble capitalisme-globalisation, c’est la mercantilisation (ou marchandisation) du monde. Cette évolution, même si elle démarre à la fin du XVIIIème siècle, est une constante de la modernité puis de la tentative (pour certains) de ‘normalisation’ de la modernité en postmodernité. La critique de ce processus (ce qui le rend insupportable à certains) a bien été résumé notamment par Michel Crozier dans son Stendhal et l’Amérique, décrivant la rupture de Stendhal avec l’idée de l’Amérique en 1825, et la façon… Notes sur la mercantilisation en vrille

L’entropie diabolique, ontologie du Système

L’entropie diabolique, ontologie du Système Il est peu de domaines, si même il y en a un autre, où l’action de cette émanation du Système qu’est l’américanisme, totalement dévoilé, – on veut dire sans le moindre masque de convenance, – comme une immondice diabolique et totalitaire, agit plus radicalement que sa campagne internationale et par tous les moyens contre l’aide sanitaire et sanitaire aux plus pauvres, contre la survie des nouveau-nés, contre >la vie< représentée symboliquement dans sa sacralité par ces occurrences. Cet acte absolument diabolique est apparu symboliquement dans son origine pour la séquence actuelle, dans cette réplique fameuse de Madeleine Albright, rapporté ici… L’entropie diabolique, ontologie du Système

L’erreur fatale de Morales

L’erreur fatale de Morales Plutôt que gémir sur l’injustice divine qui frappe les dirigeants réformateurs/révolutionnaires/populistes, c’est-à-dire antiaméricanistes, et s’exclamer par conséquent sur la vilenie et la puissance une fois de plus jugée inarrêtable des yankees, qu’ils soient d’Obama ou de Trump, il est préférable de s’interroger : pourquoi ces fabuleux yankees ont-ils si piteusement échoué contre Maduro au Venezuela, et aussi décisivement réussi contre Morales en Bolivie ? En fait, la question devrait concerner les deux hommes, – Maduro et Morales, – bien plus que les yankees, qui sont intervenus massivement contre le premier, – et ont échoué, – alors qu’ils ne sont intervenus qu’en… L’erreur fatale de Morales

L’Amérique du Sud, continent-Snowden

L’Amérique du Sud, continent-Snowden L’Amérique du Sud est manifestement le point sensible de la crise-Snowden, le centre de fusion où l’évolution politique par rapport à cette crise est la plus forte, la plus profonde, et par conséquent la plus active au niveau de la communication. L’Amérique du Sud est le foyer principal par quoi la crise-Snowden ne cesse de se renforcer et de se développer structurellement, désormais installée dans l’infrastructure crisique. (Trois pays ont jusqu’ici accepté la demande d’asile de Snowden, selon des conditions peut-être différentes : le Nicaragua, le Venezuela, la Bolivie.) On retient deux éléments qui ont trait avec la crise-Snowden. La situation… L’Amérique du Sud, continent-Snowden

Mayas versus Coca-Cola : un peu d’eau dans la coca

Mayas versus Coca-Cola : un peu d’eau dans la coca Il faut comprendre, et nous le comprenons sans aucun doute, que tout gouvernement, même violemment et radicalement antiSystème, se doit de manuvrer en fonction des forces existantes. C’est le cas de la Bolivie, par rapport aux déclarations dites, dans notre jargon, «Les Mayas (et leur calendrier) versus Coca-Cola» (voir le 2 août 2012). Il y a donc eu une déclaration du gouvernement bolivien, sous forme de mise au point du ministère des affaires étrangères, de laquelle il ressort qu’il n’est pas question d’expulser Coca-Cola. En fait de l’origine précise de la nouvelle, il s’agissait d’une… Mayas versus Coca-Cola : un peu d’eau dans la coca

Les Mayas (et leur calendrier) versus Coca Cola

Les Mayas (et leur calendrier) versus Coca Cola La Bolivie a annoncé que la société Coca Cola, un des symboles fondamentaux du capitalisme américaniste, sera expulsée de ce pays le 21 décembre 2012, selon la date symbolique de la findu calendrier mayas que nombre d’interprétations présentent comme l’annonce de la fin du monde. Cette décision, avec ce caractère symbolique, est présentée selon l’idée que le 21 décembre 2012 marque plutôt la fin du capitalisme que la fin du monde Russia Today présente la nouvelle, le 1er août 2012. «In a symbolic rejection of US capitalism, Bolivia announced it will expel the Coca-Cola Company from the… Les Mayas (et leur calendrier) versus Coca Cola

Lula et les pendules à l’heure

Après le sommet de l’UNASUR, des pays de l’Amérique du Sud, à Bariloche, en Argentine, le 28 août (voir notre F&C du 31 août 2009), le président brésilien Lula met bien les choses au point pour ce qui concerne les bases colombiennes que les forces armées US devraient utiliser. Le ton employé par le président brésilien est extrêmement ferme et sans équivoque. C’est Defense News (AFP) qui nous donne quelques indications sur l’intervention de Lula, ce 31 août 2009. «The imminent use of seven bases in Colombia by the U.S. military is a serious problem that has to be discussed further by South America’s leaders,… Lula et les pendules à l’heure

La grotesque farce des missiles boliviens achetés aux Chinois et détruits aux USA

Trois jours avant l’entrée en fonction du nouveau président bolivien Evo Morales, surnommé désormais Washington’s nightmare, l’armée bolivienne est plongée dans une crise profonde grâce à l’intervention de ses amis américanistes. Le ministre de la défense Gonzalo Mendez a démissionné et le chef d’état-major, le général Marcelo Antezana, a été démis de ses fonctions. La cause officielles, selon Reuters diffusé par Defense News, ce sont des « apparent irregularities in the destruction in the United States of a batch of Chinese-made missiles in October ». Curieuse affaire et, surtout, affaire grotesque et dérisoire qui montre la paranoïa ordinaire de la bureaucratie américaniste et la sujétion… La grotesque farce des missiles boliviens achetés aux Chinois et détruits aux USA