Mais qu’allaient-ils donc faire à Bassorah?
La crise à allure de quasi-guerre civile de Bassorah (puis dans d’autres points en Irak), commencée le 25 mars, s’est achevée, dans tous les cas temporairement, le week-end dernier. La crise s’avère être une victoire substantielle de celui qu’on jugeait pouvoir liquider rapidement, le chiite radical Al Sadr, et s’achève sur une interruption des combats négociés par les Iraniens. Pendant ce temps, le gouvernement régulier irakien, secondé par la fameuse coalition, a vu s’écrouler tous ses espoirs de régler rapidement la question, après avoir obtenu un soutien emphatique du président des Etats-Unis. Il y a dans ces événements une sorte d’archétype des erreurs et de… Mais qu’allaient-ils donc faire à Bassorah?