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L’Irak se complique

Washington a donc joué à fond la victoire en Irak, mais il l’a fait avec les moyens du bord, à la Petraeus. Il a acheté des ralliements, donné des satisfaction aux diverses factions, donné des gages au gouvernement en place. En un sens, Washington s’est retiré en partie du jeu, c’est dans tous les cas ce qu’a compris le gouvernement irakien. D’où cette déclaration de Mowaffaq al-Rubaie, conseiller pour la sécurité nationale du gouvernement irakien, selon Reuters (sur Yahoo le 11 décembre) : «Iraq will never allow the United States to have permanent military bases on its soil, the government’s national security adviser said, calling… L’Irak se complique

Il y en a même (aux USA) pour se réjouir de la crise du dollar

Certains analystes US ne sont pas mécontents de la crise du dollar. Ils en font une analyse géopolitique et estiment que cette crise forcera les USA à renoncer à leurs engagements militaro-stratégiques dans le monde. C’est un raisonnement quasiment ron-paulien (Ron Paul, dénonciateur et adversaire de l’hégémonie du dollar). Il apparaît essentiellement dans la conclusion de l’analyse développée par Edward A. Olsen, professeur des affaires de sécurité nationale à la Naval Postgraduate School à Monterey, en Californie, dans un article mis en ligne le 16 novembre, sur Antiwar.com. Selon ses conceptions, Olsen apparaît proche des tendances libertariennes. Son raisonnement conduit à proposer une sorte d’isolationnisme… Il y en a même (aux USA) pour se réjouir de la crise du dollar