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A la recherche d’un “miracle” britannique

A la recherche d’un miracle britannique Existe-t-il un espoir que le Royaume-Uni change sa politique de servilité absolue vis-à-vis des USA ? Le 3 novembre 2014, RT (Russia Today) donne une interview de Ken Livingstone, ancien maire de Londres et connu pour ses opinions à la fois flamboyantes et presque-gauchistes, dans tous les cas de la gauche extrême du parti travailliste (Labour) dont Livingstone fait partie. (A noter que cette interview est l’une des premières interventions de RT-réseau UK, qui vient d’être lancé à partir de bureaux et studios nouvellement installés à Londres. [Voir le 31 octobre 2014.] RT élargit très rapidement son implantation dans… A la recherche d’un “miracle” britannique

Infrastructure crisique, antiSystème & BRICS

Infrastructure crisique, antiSystème & BRICS 3 novembre 2014 – Les derniers événements (la Russie dans la crise ukrainienne, la réélection de Rousseff au Brésil dans les conditions qu’on sait) introduisent un facteur opérationnel fondamental que nous avons signalé dans notre texte du 1er novembre 2014. Non seulement la poussée de surpuissance déstructurante et dissolvante du Système sous sa forme de politique-Système a pris comme objectif spécifique le plus puissant et le plus important en termes de communication, de prestige et de puissance diplomatique et militaire (la Russie), mais aussi l’objectif global le plus représentatif et le plus divers (cela, défini par l’expression >tuer les BRICSbloc… Infrastructure crisique, antiSystème & BRICS

La Navy et le JSF (suite) : very, very stealthy

La Navy et le JSF (suite) : very, very stealthy On a déjà noté, à propos de déclarations de Winslow Wheeler, la réticence grandissante de l’U.S. Navy vis-à-vis du JSF. En marge des actuels ennuis du programme et selon ce que certains jugeront comme un rapport indirect, certains éléments confirment, également de façon indirecte, la position de la Navy. Dans une nouvelle sur AviationWeek.com (Ares), le 24 septembre 2010, où elle annonçait la nomination d’un nouveau chef des relations publiques du programme après des mois de vacance du poste, Amy Butler rappelait l’étonnant profil bas du nouveau directeur du programme au Pentagone, qui est un… La Navy et le JSF (suite) : very, very stealthy

Lecteurs de dedefensa.org, chapeau bas

Ce fut donc une journée sans pareille, qui nous rattrape de tant d’autres et nous réconcilie avec notre élan. Pour la première fois en une journée depuis qu’a été institué le domaine payant, le nombre d’abonnements contractés a dépassé les deux chiffres. Treize abonnements de divers calibres, (atteignant les 1.000), après plusieurs jours bien difficiles. Nous n’osions espérer une telle mobilisation, après notre message d’hier, dont nous ne savions pas s’il serait entendu comme un appel à une mobilisation, dont nous espérions peut-être secrètement qu’il devienne le signal de cette mobilisation par le fait de ses lecteurs. Ce fut le cas. Chapeau bas à nos… Lecteurs de dedefensa.org, chapeau bas

Échos bataves

L’intervention, jeudi soir à Bruxelles, du Néerlandais Gijs de Vries, coordinateur antiterroriste de l’UE, a évidemment un rapport avec la situation aux Pays-Bas, où l’on débat de la participation à la force de l’OTAN en Afghanistan. Gijs de Vries a parlé de la question de la torture dans la lutte antiterroriste, en condamnant son emploi avec une extrême virulence. Cette prise de position contraste avec la prudence des déclarations européennes habituelles, ainsi qu’avec l’attitude de l’Europe lors du voyage d’ explication (sur les transports de prisonniers illégaux de la CIA) de Rice en décembre dernier. Elle exprime sans aucun doute une attitude néerlandaise d’un poids… Échos bataves

Les Pays Bas contre l’OTAN et contre l’Europe?

William Pfaff place la querelle larvée entre les Néerlandais et l’OTAN (les USA) dans la perspective plus large du sort même de l’OTAN. La question est de savoir si l’OTAN jouera bien le rôle qui lui a été attribuée par les Américains, de servir de réserve ou de complément dans les entreprises globales américanistes. 4.000 Américains doivent quitter l’Afghanistan, on attend que 6.000 hommes des pays de l’OTAN les remplacent. Le gouvernement néerlandais a promis 1.100 hommes (avec des hésitations : deux ministres ne sont pas d’accord), le Parlement rechigne. On attend un vote en février. Suspense. Dans son article du jour dans The International… Les Pays Bas contre l’OTAN et contre l’Europe?

« Bonjour, les traîtres »

« Bonjour, les traîtres » 5 juin 2002 – La chronique dit en effet que c'est la phrase (« Bonjour, les traîtres ») que prononça Michel Jobert, alors ministre français des Affaires Étrangères, en entrant dans la salle, quelque part en 1974 mais sûrement à Washington, où se trouvaient rassemblés les délégués des pays européens – de l'OTAN, semble-t-il, ou approchant, – en plus de nos parrains nord-américains, après que ces délégués européens aient pris selon leur habitude une position d'alignement sur les intérêts américains. La chronique dit également que Henry Kissinger, qui aimait bien Jobert, approuva en connaisseur cynique et en souriant ce trait… « Bonjour, les traîtres »

Semaine du 6 au 12 mai 2002

Avec l’assassinat de Pim Fortuyn, qui a perdu son innocence ? L’assassinat de Pim Fortuyn, le 6 mai, est un choc terrible pour les Pays-Bas (« Les Pays-Bas ont perdu leur innocence », titre le journal Volkstrant). C’est aussi un choc pour l’Europe, venant après d’autres chocs qui se succèdent, dont on connaît la litanie, qui vont de Heider à Le Pen. L’assassinat de Fortuyn est un choc d’autant plus fort qu’il n’est pas isolé pour les Pays-Bas, après la victoire électorale surprise, à Amsterdam en mars, de ce même Fortuyn contre les partis traditionnels ; après la démission, le 17 avril, du gouvernement Wim… Semaine du 6 au 12 mai 2002

Vote en crise

Vote en crise 15 mai 2002 — Les Pays-Bas votent aujourd'hui. L'atmosphère est sans précédent, dans le sens d'une crise générale qui touche le pays. La campagne et le victoire du leader populiste Pim Fortuyn en mars à Amsterdam (élections partielles), la démission du gouvernement Kok le 17 avril au coeur du scandale créé par la rapport officiel sur le massacre de Srebrenica où les Néerlandais (au sein de la FORPRONU) ont joué un rôle très gravement contesté, enfin l'assassinat de Fortuyn le 6 mai sont les étapes de cette crise néerlandaise. C'est le pays jusqu'alors cité en exemple pour sa stabilité, son équilibre, son… Vote en crise

Le JSF dans les tulipes

Le JSF dans les tulipes 28 avril 2002 — Le gouvernement néerlandais démissionnaire et expédiant les affaires courantes a examiné le 26 avril une nouvelle fois le cas de l’entrée éventuelle dans le programme américain d’avion de combat JSF et pris une attitude qui revient de facto à renvoyer la question au prochain gouvernement, après les élections de la mi-mai. Cela conclut une décade d’incertitude depuis la démission de ce même gouvernement Kok, le 17 avril, dix minutes avant que le Parlement ne se prononce sur ce dossier du JSF. Le Parlement devait se prononcer sur la décision du 7 février du gouvernement d’entrer dans… Le JSF dans les tulipes

Notes sur l'actualité d'un échec et l'avenir d'une erreur

Notes sur l'actualité d'un échec et l'avenir d'une erreur La décision attendue le 1er février du cabinet néerlandais sur l'entrée dans le programme JSF ne fut pas prise à cette date, au contraire de ce qui était prévu (voir notre Analyse du 30 janvier). La décision fut reportée à la réunion ministérielle du 8 février. Finalement, le cabinet a décidé non seulement l'entrée dans le programme industriel JSF à hauteur de $800 millions, mais le principe d'une commande de JSF pour la Royal Netherland Air Force (RnethAF ou Klu en néerlandais), — qui serait en principe, selon les données budgétaires théoriques actuelles, de 85 exemplaires… Notes sur l'actualité d'un échec et l'avenir d'une erreur

La Hollande, le JSF et le destin de l'Europe

La Hollande, le JSF et le destin de l'Europe Le cabinet hollandais devrait se prononcer vendredi 1er février sur la question des avions de combat, et, plus précisément, sur la question de la participation au programme américain JSF (F-35). Diverses indications, retrouvées par ailleurs dans le ton général de la presse hollandaise comme dans nombre de commentaires, font penser que l'attitude du cabinet pourrait être positive. (Parmi les éléments nouveaux, un arrangement comptable qui fait que l'industrie hollandaise prendrait à sa charge 50% de la participation demandée par les Américains, qui serait de $800 millions, le reste étant pris en charge par le gouvernement. Cette… La Hollande, le JSF et le destin de l'Europe