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Assad, Hersh & Sherlock Holmes

Assad, Hersh & Sherlock Holmes Uri Avnery est un journaliste, auteur et ancien membre de la Knesset. C’est aussi, espèce fort rare, un activiste pacifiste qui s’oppose avec constance à la politiqueSystème maximaliste de la direction israélienne ; ce n’est certainement pas, à proprement parler, un ami du Premier ministre Netanyahou Ce n’est pas non plus un ami du Syrien Assad, qu’il considère comme un dictateur. Il lui reconnaît pourtant, dans le tourbillon qu’est le désordre sanglant de Syrie et alentour, un rôle de stabilisateur et de rassembleur qui le fait s’opposer, lui Avnery, à la politique extrémiste aveugle de soutien au terrorisme islamiste anti-Assad… Assad, Hersh & Sherlock Holmes

Le désordre et le profil psychologique du “messianique” Bibi

Le désordre et le profil psychologique du messianique Bibi Les effets de la révolte des généraux et hauts fonctionnaires israéliens contre Netanyahou comprennent désormais des commentaires extrêmement élaborés, y compris de commentateurs qui n’ont pas l’habitude de faire de différences dans le bloc des dirigeants israéliens de l’actuelle période de déchaînement maximaliste. C’est le signe que ce bloc s’est nettement fissuré suite aux attaques quasi insurrectionnelles qui vont de Dagan à Diskin. Un commentaire intéressant à cette lumière est celui de Uri Avnery, le 5 mai 2012 sur Antiwar.com. Avnery est un vieux militant israélien de la paix, qui a à son actif diverses initiatives… Le désordre et le profil psychologique du “messianique” Bibi

Bibi à Canossa

Bibi à Canossa Uri Avnery est un vieux militant de la paix en Israël. Homme de toutes les audaces, établissant des contacts constants avec les Palestiniens, c’est un adversaire déterminé de la politique expansionniste et sioniste d’Israël. Ses appréciations sont le plus souvent baignées de froid réalisme devant cette politique israélienne et le soutien US à cette politique. Son commentaire ici, ce 29 mars 2010 sur Antiwar.com, est d’autant plus intéressant parce qu’il nous expose que la situation des relations USA-Israël est à un tournant fondamental. Au regard de ses commentaires habituellement sceptiques, c’est une analyse d’autant plus importante à suivre. Aznery estime que la… Bibi à Canossa

L’incendie n’est pas du tout éteint

L’incendie n’est pas du tout éteint 25 mars 2010 Malgré l’opération de damage control entreprise par l’administration Obama la semaine dernière pour tenter de contenir, voire de dissiper en partie la violence de la crise entre les USA et Israël, la rencontre entre Obama et Netanyahou à Washington, hier, a montré que l’intensité de cette crise demeure entière. La rencontre, beaucoup plus longue que prévue, est en général décrite comme glaciale. Le Times de Londres en donne une appréciation qui semble décrire assez bien cette rencontre, ce 25 mars 2010. Quelques remarques en donnent le climat, avec des gestes symboliques significatifs voulus (pas de photos… L’incendie n’est pas du tout éteint

La tactique des relations publiques de Tsahal, — et 33 soldats tués

Plus on avance dans la critique des opérations et du comportement général de Tsahal durant le conflit avec le Hezbollah, plus on mesure l’importance de l’américanisation des forces armées israéliennes. A côté de l’automatisation et l’emploi forcené des hautes technologies, un autre domaine de prédilection de l’activité américaniste s’est fortement développé : les relations publiques. Comme l’armée US en Irak, l’armée israélienne conçoit nombre de ses opérations en fonction de l’effet médiatique, cela en accord avec les autorités politiques. Il ne s’agit pas de l’exploitation médiatique d’opérations militaires réussies, comme il est courant de faire, mais bien d’opérations entreprises dans un but de relations publiques,… La tactique des relations publiques de Tsahal, — et 33 soldats tués

Pendant ce temps, la guerre des généraux…

On peut admettre que, désormais, the fog of the war commence à se dissiper sur l’état réel du conflit entre Israël et le Hezbollah. L’indication la plus nette des difficultés de Tsahal nous est sans aucun doute donnée par ce que Uri Avnery désigne comme la guerre des généraux, dans un excellent article qu’il publie le 10 août sur le site Information Clearing House. (Avnery, journaliste et écrivain israélien, membre actif du mouvement pour la paix Gush Shalom.) La guerre des généraux est marquée surtout par la querelle entre le chef d’état-major et son commandant de théâtre au Liban Sud (voir aussi Haaretz du 9… Pendant ce temps, la guerre des généraux…