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Pourquoi un conflit avec l’Iran ne devrait pas avoir lieu

Pourquoi un conflit avec l’Iran ne devrait pas avoir lieu Le 5 juillet 2010, sur le site World Tribune, il y a eu une longue analyse de Gregory R. Copley, de Global Information System, pour argumenter contre une attaque de l’Iran. Deux choses sont à signaler : Copley est un adversaire de l’Iran et du régime islamiste, dont il est partisan de la chute ; simplement il explique pourquoi le choix d’une attaque serait catastrophique alors qu’il y aurait, selon lui, la voix de favoriser une démocratisation du régime. La deuxième chose est la publication de cette analyse sur le site World Tribune, en général… Pourquoi un conflit avec l’Iran ne devrait pas avoir lieu

Le dilemme de l’impuissance

Les projets universels et révolutionnaires de GW Bush et de ses inspirateurs neocons étaient de transformer le Moyen-Orient en une vaste centrale démocratisée, c’est-à-dire complètement américanisée, à partir d’où l’on tiendrait le monde pour au moins mille ans. On voit dans Ouverture libre de ce 8 juillet 2010 que le nouveau Moyen-Orient, notamment selon Alistair Crooke dans The Washington Quaterly de juillet 2010, serait, du point de vue politique de l’influence, exactement inverse, axée autour du northern tier avec, principalement, l’Iran, la Turquie et la Syrie, tous en mode anti-américaniste. C’est aussi à la lumière de cette perspective que l’on peut lire l’intervention extraordinaire de… Le dilemme de l’impuissance

A force de crier “au loup”…

Une nouvelle intéressante sur le front iranien, la déclaration de l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis aux USA, lors d’un séminaire à Aspen, dans le Colorado ; l’ambassadeur recommandant fermement d’envisager l’option d’une attaque militaire contre l’Iran pour empêcher ce pays de se doter d’une arme nucléaire. On trouve notamment ces déclarations dans le Washington Times de ce 6 juillet 2010 et une reprise de ces déclarations sur Novosti, ce 7 juillet 2010. Successivement, Yousef al-Otaiba a estimé que son pays ne pouvait envisager de vivre avec un Iran nucléaire («The United States may be able to live with it. We can’t.») ; qu’une attaque, si… A force de crier “au loup”…

«Vienne la nuit sonne l’heure…»

«Vienne la nuit sonne l’heure» 28 juin 2010 Les deux vers complet sont ceux-ci, de Guillaume Apollinaire certes, et du pont Mirabeau : «Vienne la nuit sonne l’heure/ Les jours s’en vont je demeure.» Las, il est possible qu’au contraire du poète, nous nous en irons avec les jours, c’est-à-dire balayés par les jours. Au fond de lui-même, ce doit être l’avis de James Carroll et de nombre d’autres (voir par exemple, Bob Herbert, dans le New York Times du même 22 juin 2010: «When Greatness Slps Away»). Voilà qu’aujourd’hui ils assistent, impuissants et horrifiés, à l’effondrement de la plus grande chose que l’esprit humain,… «Vienne la nuit sonne l’heure…»

Le G8 convaincu qu’Israël attaquera l’Iran

Le G8 convaincu qu’Israël attaquera l’Iran Berlusconi a fait des confidences aux journalistes, à l’issue du G8 du Canada. Il rapporte que tous les dirigeants du G8 sont absolument convaincus qu’Israël attaquera préventivement l’Iran. Voir dans RAW Story du 27 juin : http://rawstory.com/rs/2010/0627/italian-pm-israel-will-react-preemptively-iran/. La nouvelle est donnée avec une première phrase assez énigmatique «Has the leader of Italy’s government revealed how the global community plans to handle Iran? »That’s entirely possible, according to a report from Israel which cites Silvio Berlusconi as telling reporters at the G8 summit in Toronto, Iran is not guaranteeing a peaceful production of nuclear power, [so] the members of the… Le G8 convaincu qu’Israël attaquera l’Iran

Le Times, Israël, l’Arabie et l’Iran

En quelques heures, un tour de passe-passe, ou une passe d’armes c’est selon, que nous tentons d’éclaircir plus bas, dans notre commentaire. Le Times de Londres publiait le 12 juin 2010 un article sensationnel où il était annoncé que l’Arabie Saoudite avait donné à Israël l’autorisation d’utiliser son espace aérien pour un raid éventuel contre l’Iran. La révélation était faite dans un style sérieux surtout remarquable par l’importance de l’article, par ailleurs, pourtant, comme une chose qui va de soi entre gens qui savent ce dont ils parlent, dito, que l’Iran est évidemment le pays qui menace le reste du monde de l’apocalypse. L’alliance Israël-Arabie,… Le Times, Israël, l’Arabie et l’Iran

L’attaque de la “flottille” et la crise iranienne

L’attaque de la flottille et la crise iranienne Qui a une certaine sensibilité au climat des choses, qualité essentielle dans un temps où triomphe le système de la communication, sentira que l’attaque israélienne contre la flottille humanitaire, où la Turquie jouait un rôle fondamental, interfère sur la crise iranienne en plein développement après l’accord de Téhéran (où la Turquie est partie prenant, avec l’Iran et le Brésil) et alors qu’on s’approche d’un vote sur les sanctions au Conseil de Sécurité. Certes, le climat défavorise cette poussée vers les sanctions, qui a indirectement un fort soutien israélien, et où les USA sont manipulateurs en chef, alors… L’attaque de la “flottille” et la crise iranienne

Comme Suez-1956, le “maillon faible” contre l’Iran est à Londres

Nous tenons la constitution du gouvernement Cameron-Clegg à Londres comme un très grand événement dans la déconstruction du système occidentaliste-américaniste. (Nous nous en expliquerons dans le prochain numéro du 25 mai de dde.crisis.) Cette coalition a déjà connu ses premiers heurts. Les déclarations sceptiques sinon hostiles à cette coalition de Charles Kennedy, l’ancien chef des LibDems (jusqu’en 2007), le 16 mai 2010 dans The Observer, en sont le dernier signe en date. Parmi les points de friction qui peuvent devenir des points de rupture et semer un trouble de plus dans le concert cacophonique du système occidentaliste-américaniste, il y a l’Iran. C’est un point extrêmement… Comme Suez-1956, le “maillon faible” contre l’Iran est à Londres

Aveu(x) d’impuissance

Aveu(x) d’impuissance 22 avril 2010 Durant cinq ans, la fameuse phrase fut répétée : All the options are on the table. Fameusement dite pour la première fois avec un grand écho médiatique à Bruxelles le 21 février 2005 par le président Bush, la phrase signifiait que les USA envisageaient la possibilité d’une attaque contre l’Iran, avec autant de sérieux que les autres possibilités, essentiellement diplomatiques, de leurs rapports avec l’Iran concernant la controverse devenue crise du nucléaire iranien, et, même, avec plus de sérieux que les autres options tant l’évocation de cette option de l’attaque semblait à l’époque impliquer l’automatisme de son application, ainsi fut-elle… Aveu(x) d’impuissance

Mullen s’en va-pas-t-en-guerre

Sur fond d'un >mémo< de Robert Gates ayant été divulgué à la presse et annonçant que les USA n'ont pas de plan crédible pour attaquer l'Iran, ce qui est interprété de deux façons (>il en faut un< ou bien >nous n’avons pas les moyens d’en avoir ungo a long way< towards delaying Tehran's uranium enrichment programme. »The remarks by Admiral Mike Mullen, Chairman of the Joint Chiefs of Staff, were his strongest yet in support of a strategy that both the Pentagon and the Obama Administration still regard as a last resort and possibly a recipe for a regional war. […] »The war of words… Mullen s’en va-pas-t-en-guerre

Retour à 2007, en infiniment pire

Retour à 2007, en infiniment pire 9 mars 2010 De quoi BHO n’est-il pas la marionnette ? De Wall Street, on l’a assez dit; des républicains, qui le font danser au rythme des soins de santé; du Pentagone, nous le savons mieux que quiconque; du lobby sioniste, cela va de soi; dernière nouvelle, de Netanyahou lui-même, directement et par-delà son lobby, très précisément pourrait-on croire Mais la chose n’est pas si simple puisque le même Netanyahou semble désormais n’avoir d’ennemi plus déterminé qu’un homme d’importance au Pentagone, l’amiral Mullen. La chose se complique. Un article de Ray McGovern, le 8 mars 2010, sur Antiwar.com, apparaît… Retour à 2007, en infiniment pire

Israël, le destin du JSF et l’attaque contre l’Iran

Dans le détail de la catastrophe générale qu’est le programme JSF, il y a divers domaines différents dans lesquels on peut ranger par importance les différentes (mauvaises) nouvelles possibles. Dans le domaine des commandes non-US (les pays coopérateurs), la commande israélienne est en première ligne. Lockheed Martin et le Pentagone l’espèrent la plus rapide possible, pour donner une impulsion et un signe de confiance au reste du troupeau non-US. Le Jerusalem Post (le 8 mars 2010) annonce qu’Israël a sans doute décidé d’un délai d’au moins un an par rapport à une prévision de commande pour ce mois-ci, laquelle commande était d’ailleurs, elle-même, fort nébuleuse… Israël, le destin du JSF et l’attaque contre l’Iran

La dimension catastrophique de l’attaque contre la CIA en Afghanistan

Nous publions des extraits de deux articles concernant l’évaluation de l’importance de l’attaque contre la CIA, en Afghanistan le 30 décembre 2009, une attaque dont le déroulement lui-même est extraordinaire selon les termes du Financial Times Effectivement, un article du Financial Times, assez court, du 11 janvier 2010, sous la forme d’un éditorial présentant l’opinion du journal. L’article («Intelligence fiasco in Afghanistan») donne quelques détails sur l’attaque du camp de la CIA mais, surtout, met en évidence l’extraordinaire importance que le quotidien attribue à cette opération et à son succès. Nous citons le dernier paragraphe de l’article, en soulignant la dernière phrase qui résume assez… La dimension catastrophique de l’attaque contre la CIA en Afghanistan

Attaquer l’Iran? L’amiral Mullen “very, very destabilized….

L’amiral Mullen, président du Joint Chiefs of Staff, se dépense beaucoup en ce moment. Il le fait, on l’a vu ce 8 janvier 2010, à propos du Yémen, et, comme nous le disions dans le titre prudentissime Cette fois, il renouvelle, mais avec l’Iran. Antiwar.com présente une synthèse de cette intervention, ce 8 janvier 2010. L’intervention de Mullen, qui s’est faite devant l’Institute for Near East Policy, est également rapportée par Reuters, le 7 janvier 2010. Les passages essentiels: «Admiral Mike Mullen [] said the U.S. military was prepared for any eventuality in Iran, despite being stretched by wars in Iraq and Afghanistan. He pointed… Attaquer l’Iran? L’amiral Mullen “very, very destabilized….

L’Ouest face à l’Iran, et BHO en forme

Lorsqu’on sut que l’Iran nous avait dissimulé quelque chose démarche impensable dans les pays civilisés qui ne dissimulent jamais ce fut un tollé absolument général. On en avait eu un avant-goût avec la diplomatie ordonnée de vitupérations de notre-Président. Les exclamations catastrophées, accompagnées de suggestions d’intervention militaire pour garder le cap politique général de nos orientations courantes, ont été nombreuses. Les Israéliens observaient avec une belle sobriété que l’on était proche d’une catastrophe nucléaire, d’un Armageddon cartographique (dito, Israël accompagné de ses fidèles 200 têtes nucléaires, rayé de la carte). Le G20 vit une belle unité des trois pays habituels (France, UK, USA), au son… L’Ouest face à l’Iran, et BHO en forme

Retour de l’option de l’attaque de l’Iran

La politique extérieure des USA, si on peut nommer cela politique extérieure, est désormais repartie dans la spirale des surenchères maximalistes qui est essentiellement la marque de son désordre. Cette fois, il s’agit d’un rapport du type affectionné à Washington, dit bipartisan, comprenant deux sénateurs, l’un de l’aile démocrate et l’autre de l’aile républicaine du parti unique, plus l’indispensable général à la retraite. La recommandation, c’est: des sanctions dures contre l’Iran et la préparation ostensible d’une attaque si l’Iran ne cède pas. Bloomberg.News présente la nouvelle le 15 septembre 2009 «If biting sanctions do not persuade the Islamic Republic to demonstrate sincerity in negotiations and… Retour de l’option de l’attaque de l’Iran

Ah non! Pas “Bomb, bomb, bomb Iran!

Dimanche dernier, le vice-président Biden avait laissé entendre à qui voulait bien l’entendre de cette oreille qu’après tout, Israël pouvait faire ce qu’il voulait, notamment attaquer l’Iran. (Antiwar.com donne un résumé de cette intervention et de diverses réactions, avec les liens adéquats, le 5 juillet 2009). La chose, pourtant assez sollicitée si l’on considère les déclarations de Biden, qui a été un peu forcé dans ses retranchements, a été largement répercutée et l’on s’est cru revenant aux temps pas si lointains de la politique de l’idéologie et de l’instinct, avec la veille dans l’attente de l’attaque-surprise annoncée avec régularité à l’avance, pour que la surprise… Ah non! Pas “Bomb, bomb, bomb Iran!

Le poids du mythe dans le poids des armes: l’exemple du S-300

On se demande ce que les experts de la plus grande civilisation technologique et rationaliste de l’histoire du monde feraient, pour nourrir leurs analyses, sans les mythes. La méthodologie des armements en est fournie. Le dernier en date est celui du système de missiles sol-air russe S-300 Favorit (ou S-300PMU/PMU-2 dans la version considérée dans l’historiette qui nous intéresse, qui est un développement très avancée du S-300 initial, dit SA-10 Grumble selon le code-OTAN, devenu SA-20B dans ce cas du PMU/PMU-2). Une dépêche de UPI, via Spacewar.com, du 1er juillet 2009, nous détaille les récentes péripéties extraordinaires des S-300 qu’aurait commandés l’Iran, que n’aurait pas… Le poids du mythe dans le poids des armes: l’exemple du S-300

Touche pas à mon JSF

Grande alarme désormais répercutée par les canaux les plus respectés, puisque c’est par le Wall Street Journal du 21 avril 2009 qu’elle nous parvient. Il s’agit de la révélation que des pirates ou des espions informatiques ont pratiqué des brèches épouvantables dans le réseau de protection des secrets sans nombre qui constellent le programme JSF, dérobant ainsi de précieuses technologies aux USA et à leur plus vaillant fleuron. Le JSF est un monstre chargé d’électronique, avec 7,5 millions de lignes de code, trois fois plus que pour le F-22 Raptor. «Computer spies have broken into the Pentagon’s $300 billion Joint Strike Fighter project the Defense… Touche pas à mon JSF

Foch plutôt que Lincoln?

Foch plutôt que Lincoln? 9 mars 2009 Le président Obama ne cesse de partir en guerre. La déclaration officielle de la Maison-Blanche du 5 mars constitue une déclaration de guerre lancée à la bureaucratie du Pentagone. Certains, pleins d’espoir, mais pourquoi pas par les temps qui courent et qui sont pleins d’espérance, y verraient une continuation, une poursuite du discours fameux mais si peu célèbre de Rumsfeld, le 10 septembre 2001. Dans l’esprit, l’attaque d’Obama n’est pas vraiment une surprise, mais la rapidité et la décision de la chose sont remarquables. Dans tous les cas, voici la substance des déclarations d’Obama sur cette question de… Foch plutôt que Lincoln?

L’hypothèse d’une d’attaque contre Moby Dick

L’hypothèse d’une d’attaque contre Moby Dick 4 mars 2009 Le président Obama se trouve, avec son budget pharaonique ($3.600 milliards) et un déficit qui ne l’est pas moins ($1.750), engagé dans une aventure qui commence à ressembler à une guerre, qui pourrait apparaître comme une rébellion (par rapport aux règles émollientes et paralysantes du système). Il faut considérer plusieurs points, décrits sommairement mais suffisamment pour donner une mesure des choses importantes qui caractérisent cette aventure. On l’a vu (notre F&C du 2 mars ), ce budget est perçu comme un acte politique fondamental. Avec lui, Obama ne fait pas seulement que de partir en guerre… L’hypothèse d’une d’attaque contre Moby Dick

L’Iran et le President-elect

L’Iran et le President-elect 12 janvier 2009 Les conditions politiques actuelles, avec l’attaque israélienne de Gaza et la très prochaine entrée en fonction d’Obama, le 20 janvier, réactivent la crise du Moyen-Orient, notamment, en arrière-plan de la crise de Gaza, autour de la question iranienne. Cette évolution est renforcée depuis hier par des déclarations d’Obama affirmant qu’il agira promptement dès son entrée en fonction pour établir une nouvelle approche de l’Iran. Le President-elect emploie des mots extrêmement choisis pour établir un équilibre dans ses propos entre une ouverture et un avertissement. (Signalons en passant, mais pour renforcer le cas de la nouvelle approche, que, presque… L’Iran et le President-elect

Mullen en super-Fallon : pas d’attaque contre l’Iran, c’est compris?!

Cette fois, l’amiral Mullen, président du Joint Chiefs of Staff (JCS) et plus haute autorité des forces armées US, ne prend plus de gants. Lors d’une conférence de presse hier au Pentagone, Mullen a clairement pris position, une position qui, si elle porte sur l’hypothèse d’une opération militaire, n’en est pas moins hautement politique. Alors que GW Bush réaffirme que toutes les options sont sur la table, donc y compris une attaque contre l’Iran, Mullen a de ces phrases où il emploie la première personne du singulier, comme s’il était le patron de quelque chose presque à hauteur du président, et dans un sens qui… Mullen en super-Fallon : pas d’attaque contre l’Iran, c’est compris?!

Hersh et l&#39;attaque contre l’Iran

Hersh et l'attaque contre l’Iran Le reporteur-vedette du New Yorker, Seymour Hersh, consacre un long article à l’activisme de l’administration GW Bush en Iran, dans le numéro du magazine daté du 7 juillet. Cet article doit naturellement être placé en corrélation avec les diverses rumeurs sur la possibilité d’une attaque contre l’Iran, qui ont trouvé une nouvelle jeunesse depuis quelques jours. La situation que décrit Hersh est principalement une intensification des opérations de forces spéciales US en Iran, avec l’espoir que ces opérations déclencheraient éventuellement une riposte iranienne, laquelle donnerait à l’administration GW Bush un prétexte pour une attaque contre l’Iran. Israël serait fidèlement et… Hersh et l&#39;attaque contre l’Iran